Bien entendu, Ubuntu oblige, cette tablette pourra aisément se transformer en ordinateur traditionnel, en la connectant à un écran externe et en lui adjoignant un ensemble clavier/souris Bluetooth.4G, 64 bits, Full HD et économique, le smartphone Archos 50d Oxygen affiche bien des atouts. Sa qualité de construction sera-t-elle à la hauteur de sa fiche technique ?À quelques jours du Mobile World Congress de Barcelone, Archos lève le voile sur l’Archos 50d Oxygen, un smartphone 4G 150 Mb/s de moyen de gamme particulièrement abordable : un prix public de 149,99 euros TTC est annoncé. Disponibilité prévue pour mai.Ce smartphone est équipé d’une puce Mediatek MTK6753 comprenant 8 cœurs 64 bits ARM Cortex-A53 cadencés à 1,3 GHz. Si la puissance est bien plus limitée qu’avec les composants Cortex-A57, les besoins en énergie de ce SoC devraient se montrer raisonnables. À noter, la présence d’un GPU performant, un ARM Mali-T720 MP3. Le processeur est épaulé par 2 Go de RAM et 16 Go d’espace de stockage (extensibles via une carte microSD). Classique pour du milieu de gamme. Côté écran, c’est une bonne surprise, avec une dalle 5 pouces IPS en Full HD, soit une résolution de 1920 x 1080 points. Deux capteurs d’images, de 13 et 5 mégapixels sont proposés sur le terminal.Le tout se veut léger (130 g), fin (14,1 x 7,1 x 0,8 cm), fonctionnel (avec ses 2 SIM) et relativement autonome (batterie de 2100 mAh). C’est Android 5.1 qui est aux commandes. Comme d’habitude chez Archos sans surcouche, le constructeur se bornant à ajouter à l’OS ses applications de gestion des vidéos et des fichiers. Dommage qu’il ne soit pas ‘rootable’ par défaut, afin d’y ajouter des applications de sécurité complémentaires.L’Exynos 7 Octa 7870 est un nouveau processeur mobile de milieu de gamme qui adopte le 14 nm FinFET. Une première sur ce segment de marché pour Samsung.Les puces mobiles de haut de gamme de Samsung, les Exynos gravés en 14 nm, ne sont plus réservées aux smartphones les plus onéreux. La firme coréenne vise ainsi le milieu de gamme, avec une nouvelle offre, l’Exynos 7 Octa 7870. Au menu, 8 cœurs ARM 64 bits Cortex-A53 cadencés à 1,6 GHz, un modem 4G (LTE) et une puissance suffisante pour lire de la vidéo en Full HD à 60 ips (images par secondes) et piloter des capteurs d’images de 16 mégapixels. Un GPS plus rapide sera également de la partie.Gravé en 14 nm FinFET, ce nouveau SoC se veut au top de la technologie, mais avec des spécifications de moyen de gamme qui devraient permettre à Samsung de proposer une puce compacte, peu gourmande en énergie et d’un prix de revient relativement bas. Idéal pour aller concurrencer Qualcomm.Le passage de 28 nm à 14 nm devrait permettre de réduire la consommation de cette puce de 30 % par rapport à son prédécesseur de puissance équivalente, l’Exynos 7 Octa 7580. De quoi enfin proposer des smartphones à forte autonomie ? Il est à craindre que Samsung suive une autre voie, en profitant de cette réduction des besoins en énergie pour diminuer la taille des batteries de ses smartphones, afin de proposer des terminaux plus compacts, mais aussi plus économiques à produire.Réponse dans le courant de l’année. L’Exynos 7 Octa 7870 devrait en effet entrer en production ce trimestre. Il faut donc s’attendre à le voir arriver dans de premiers terminaux mobiles au cours du second semestre 2016.
Gros buzz autour du Freedom 251, un smartphone qui sera vendu en Inde pour 3,3 euros. Il est en fait sponsorisé par le gouvernement, qui prend en charge la majeure partie de son prix de revient.Le constructeur indien Ringing Bells lance le plus économique des smartphones jamais conçus : 251 roupies, soit environ 3,3 euros.Le Freedom 251 propose une fiche technique plus qu’acceptable à ce tarif : un écran de 4 pouces IPS qHD (960 x 540 points), piloté par un processeur ARM disposant de 4 cœurs 32 bits cadencés à 1,3 GHz. 1 Go de RAM et 8 Go d’espace de stockage (extensibles via une carte microSD de 32 Go maximum) sont présents en standard. Le tout fonctionne sous Android 5.1 et est compatible avec les réseaux 3G. La batterie est un peu faiblarde (1450 mAh) et les capteurs d’images anémiques (0,3 et 3,2 mégapixels). Mais à ce prix, il sera difficile de se plaindre. Ce smartphone ne sera livré que cet été. Les précommandes ont débuté (elles sont réservées aux seuls indiens), mais sont actuellement inaccessibles, la société indiquant que ses serveurs sont saturés. Pourtant, le site dédié à ce smartphone fonctionne toujours à cette heure. Ringing Bells aurait-il été submergé de commandes… au-delà de ce qu’avait accepté de financer le gouvernement indien ? Le Freedom 251 est en effet un smartphone sponsorisé par le gouvernement, ce qui explique son tarif plancher. L’objectif est ici de connecter le plus grand nombre de personnes à l’Internet mobile.Cette politique de subvention est critiquée par certains, comme l’Indian Cellular Association. L’organisation explique que le Freedom 251 va casser le marché, en étant proposé quasiment à un dixième de son prix de revient. Normalement, c’est à entre 3500 et 4100 roupies qu’un tel téléphone devrait être vendu, soit de 46 à 54 euros. L’association gonfle ici un peu les chiffres, les offres 3G pouvant probablement approcher les 2500 roupies. En particulier sur le territoire indien, où des économies d’échelle importantes peuvent être réalisées. Pour preuve, Ringing Bells propose une offre non subventionnée, le Smart 101, à 3000 roupies, soit environ 39 euros. Proche du Freedom 251, le Smart 101 propose un modem 4G, un écran de 5 pouces (960 x 480 points) et une batterie plus généreuse de 2800 mAh. La société pourrait donc faire une excellente affaire avec le Freedom 251. Ce téléphone subventionné lui permettra de se faire connaître largement sur le territoire indien. Et lorsque ses utilisateurs adopteront l’Internet mobile, le Smart 101, dont le prix reste abordable pour un terminal 4G, sera la suite logique du smartphone à 3,3 euros.Sponsorisé par le gouvernement indien, le Freedom 251 ne sera pas distribué à l’étranger (du moins pas à ce prix). Aujourd’hui, certains smartphones 3G d’entrée de gamme sont accessibles pour un peu moins de 40 euros TTC en France. Des tarifs qui ne devraient pas baisser. Par contre, il faudra s’attendre à voir basculer certains de ces combinés à la 4G, courant 2016-2017.
« Le Grand Bleu » dans sa version longue sans un moment ou l’autre avoir à recharger sa batterie sur la prise secteur. L’objectif de ce partenariat est à terme de proposer des portables capables de fonctionner en autonomie entre huit et douze heures. Mais pour arriver à un tel résultat il faut également travailler sur les composants, grands consommateurs d’énergie. Seulement voilà, en terme de R&D il est plus rentable de chercher à augmenter la capacité de stockage d’une batterie. « Nous espérons que ce développement commun nous permettra de proposer une solution offrant 8 heures d’autonomie totale avec une batterie » a déclaré à Reuters un porte-parole de Matsushita. Le groupe nippon, que l’on connaît principalement sous la marque Panasonic, va apporter à Intel son expertise dans la mise au point de batteries Lithium-Ion. La firme a en effet déjà développé une batterie de PC portables pour le marché japonais qui fournit, selon la méthode de mesure de la « Japan Electronics and Information Technology Industries Association », une autonomie de sept à douze heures. A noter que le groupe a annoncé qu’il proposerait dés le mois d’Avril prochain une batterie Lithium-Ion pouvant stocker jusqu’à 30 % d’énergie en plus. Cette batterie pour l’instant en expérimentation est d’une densité de 600 Watts heure par litre (15 % de plus que les batteries Li-on traditionnelles) et d’ici sa sortie en avril la compagnie compte faire passer cette densité à 620 Watts heure par litre. De son côté, Intel va apporter à Matsushita son savoir-faire en matière d’économie d’énergie Pour l’heure, les deux groupes n’ont pas indiqué quand la fameuse batterie capable de tenir une journée arrivera sur le marché. Alors patience… Les batteries pour appareils numériques, ordinateurs portables ou téléphones mobiles, sont essentiellement composées d’ingrédients hautement nocifs, en particulier de lithium et de cobalt.NEC annonce une nouvelle technologie de batterie dite ORB ou ‘Organic radical battery‘, qui utilise un composant organique, le PTMA, et qui reprend la structure des batteries lithium-ion. Mais la technologie de NEC irait plus loin encore qu’une simple imitation grâce à des composants plus écologiques. Si la durée de vie d’une recharge serait plus réduite que sur batterie lithium-ion, la puissance d’ORB serait supérieure. Par exemple, quatre petites batteries de ce type ? le prototype mesure 55 x 43 x 4 millimètres (trois cartes de crédit empilées) pour un poids de 20 grammes – dans un ordinateur portable pourraient offrir la puissance nécessaire pour sauvegarder le poste et interrompre la session. Autres avantages intéressants, ORB peut être rechargée très rapidement, 80% de sa capacité en moins d’une minute, important pour les systèmes mobiles. Durant son utilisation et sa décharge, le voltage reste constant. Et sa durée de vie serait plus longue, son taux d’usure est donc moins élevé. NEC n’a pas donné d’indication sur une éventuelle introduction en phase industrielle de sa découverte, dont le développement a été lancé en 2000. Mais cette étape pourrait être franchie rapidement, le processus de fabrication serait très proche de celui des batteries lithium-ion. NEC s’accorde encore deux à trois ans pour évaluer les applications technologiques de ORB et envisager une commercialisation. Les fabricants d’ordinateurs portables ont bien des soucis avec les batteries. Après Apple il y a quelques semaines, c’est au tour de Fujitsu Siemens d’avertir que certaines d’entre-elles présentent des risques de surchauffe, donc de court-circuit et d’incendie. Quatre incidents (pas de blessures) ont déjà été recensés.Le constructeur annonce qu’il va rappeler pas moins de 250.000 batteries en Europe. Le rappel concerne les batteries des portables AMILO commercialisés depuis le mois d’octobre. On ne connaît pas le fabricant de ces composants. Précisemment, le rappel concerne les portables AMILO A7640, A1640, M1405, M1424, M1425, M7405, M7424, M7425, Pro V2020. Les batteries impactées ont un numéro de série se terminant par G1L1. « L’entreprise recommande que sur certains modèles, les clients utilisent uniquement l’alimentation secteur », est-il précisé dans un communiqué de la société qui précise qu’elle remplacera les batteries gratuitement. Plus de détails sur le programme d’échange: www.fujitsu-siemens.fr/echangebatterie La liste noire des batteries explosives s’allonge donc encore un peu plus. Il faudra bientôt une assurance pour utiliser nos ordinateurs portables! Fin mai, Apple rappelait 128.000 batteries équipant les iBook G4 et les PowerBook G4 vendus entre octobre 2004 et mai 2005. Six incidents ont été recensés. En octobre 2004, Dell a rappelé pas moins 4,4 millions de ses PC portables pour risque de surchauffe du transformateur. En juillet 2004, Dell encore rappelait 8.000 adaptateurs secteur et batterie de voiture Combination Auto/Air Adapters, des accessoires vendus pour les ordinateurs portables Inspirion et Latitude. En septembre 2003, IBM rappelait 553.000 ordinateurs portables afin de remplacer leur alimentation AC 56-watts qui, là aussi, pouvait présenter un défaut avec risque de surchauffe et de feu. Et il ne faut pas oublier les multiples explosions de batteries pirates de téléphones mobile dans le monde…
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Den D810 kann man je nach Geldbeutel mit Festplattenkapazitäten von 30, 40, 60, 80 oder 100 GByte bestellen. Die Qual der Wahl besteht auch bei den Optionen, die Dell bei den optischen Laufwerken anbietet: ein 24x-CD-ROM, ein 8x-DVD-ROM, ein 24x-CD-RW/DVD-ROM oder ein 8x DVD+/-RW kann man bestellen. Die Laufzeit des 80-Wh-Akkus gab der Hersteller leider nicht an. Optional kann man das optische Laufwerk mit einem 48-Wh-Akku ersetzen. An Bord sind ein 56K-V.92-Modem, Gigabit-Ethernet, WLAN nach 802.11b/g oder 802.11a/b/g sowie optional auch Bluetooth. Bei den Anschlüssen sind ferner ein PC-Card-Slot, eine serielle Schnittstelle, VGA, S-Video-Out sowie vier USB-2.0-Anschlüsse und Infrarot zu vermelden. Das Notebook misst 41,8 x 361,2 x 260,4 mm und wiegt 2,9 Kilogramm.Als Preisbeispiel nannte Dell eine Konfiguration bestehend aus einem Intel-Pentium-M-Prozessor mit 1,73 GHz, einer Centrino-Wireless-Karte (Intel Pro Wireless 2200), einem Gigabit-Ethernet-Controller, einem V.92-Modem, 512-MByte-DDR2-Systemspeicher, einem 15,4-Zoll-Wide-XGA-Display (1.280 x 800 Pixel), einer ATI-Mobility-Radeon-X600-Grafikkarte mit 128 MByte, einer 40-GByte-Festplatte, einem DVD/CD-RW-Laufwerk und einem integrierten SmartCard-Leser. So ausgestattet soll das D810 1.499,- Euro zzgl. Versand kosten. Mit dem Centrino-2-Notebook (Sonoma) Aspire 1691WLMi liefert Acer sein erstes Gerät mit einer CrystalBrite getauften Technik, mit der das verbaute Breitbild-LCD ein deutlich klareres Bild darstellen soll. Anstatt der üblichen angerauhten Oberfläche werden CrystalBrite-Displays mit einer glatten Oberflächenbeschichtung ausgestattet, welche einen matten, milchigen Farbeindruck vermeiden soll. Acer 1691WLMi Im Aspire 1691WLMi arbeiten ein Pentium M 730 mit 1,6 GHz, 2 MByte L2-Cache und 533 MHz Systembus sowie der ebenfalls neue Intel-915PM-Chipsatz (Alviso) mit PCI-Express-Unterstützung. Als PCI-Express-Grafikchip ist ATIs Mobility Radeon X600 mit 64 MByte Videospeicher integriert. Damit lassen sich - wie mittlerweile üblich - bis zu zwei Monitore (LCD+CRT, LCD+TV) gleichzeitig ansteuern.Das Notebook verfügt über ein 15,4-Zoll-TFT-LCD mit CrystalBrite-Technik und einer Breitbild-Auflösung von 1.280 x 800 Bildpunkten (WXGA). CrystalBrite ist im Grunde nichts anderes als der Verzicht auf eine stärker angerauhte, oft für das etwas milchige Bild verantwortliche Anti-Reflektionsschicht. Das bringt aber in der Regel auch stärkere Spiegelungen mit sich, wie es bei ähnlichen Geräten etwa von Sony oder IBM (flexView) zu sehen ist. Ähnliches hat Acer bereits beim TravelMate 4002WLMi-M11 eingeführt. Mit MP3s (8 bis 320 kbps und VBR) und WMAs (5 bis 192 kbps) gefüllt werden kann der Flash-Speicher des PSS110 per USB-2.0-Anschluss und wird dabei als externer USB-Datenträger angesteuert. Eine Aufnahmefunktion gibt es nicht, dafür kann man sich dank der ebenfalls integrierten Uhr aus dem Schlaf reißen lassen. Die Weckfuntion funktioniert sowohl mit dem FM-Stereo-Radio (10 Programmspeicherplätze) als auch mit der MP3-Player-Funktion.Philips PSS110 Um als PC-Lautsprecher zu dienen, verfügt das PSS110 über einen Line-Eingang. Alternativ kann ein Kopfhörer zur Tonwiedergabe an den MP3-Lautsprecher angeschlossen werden. Zur Tonverbesserung ist ein Equalizer mit sechs verschiedenen Einstellungen integriert.Im PSS110 fest eingebaut ist ein wiederaufladbarer Lithium-Ionen-Akku, der bis zu zehn Stunden MP3-Wiedergabe abseits vom Stromnetz ermöglichen soll.Inklusive Akku, Aufbewahrungs-Box und Reise-Netzteil will Philips das PSS110 ab April 2005 für 149,- Euro ausliefern.
Olympus plant, die SP-320 ab Frühjahr 2006 zu einem Preis von 299,- Euro auf den Markt zu bringen. Optional soll ein Telekonverter angeboten werden, der die Brennweite des verbauten Objektivs auf 193 mm verlängert.Zwei neue 7,1-Megapixel-Modelle sowie eine Kamera mit 8 Megapixeln der µ-Serie hat Olympus jetzt vorgestellt. Alle drei verfügen über ein wetterfestes Gehäuse, 3fach optisches und 5fach digitales Zoom. Zudem sind sie alle mit der Bright-Capture-Technik ausgestattet, die auch bei schwachem Licht gute Aufnahmen ermöglichen soll. Olympus µ 810 Die µ 810 ist der Nachfolger der µ 800 und bietet wie der Vorgänger 8 Megapixel, womit die Kamera Bilder in einer maximalen Auflösung von 3.264 x 2.448 Pixeln aufnimmt. In der 97 x 56,2 x 22,7 mm messenden Kamera steckt ein 17 mm kurzes Objektivsystem mit 3fach-Zoom, das einer Kleinbildbrennweite von 35 bis 105 mm (1:2,8 - 4,7) entspricht. Auf dem eingebauten 2,5-Zoll-Display mit 230.000 Pixeln können die gemachten Aufnahmen betrachtet werden. Laut Olympus soll es besonders kontrastreich sein, so dass es auch bei schlechten Lichtverhältnissen abgelesen werden kann. Der Standard-Systemspeicher von 2 x 256 MByte DDR333-SDRAM lässt sich auf 2 GByte erweitern. Die Festplatte des Aspire 1691WLMi besitzt eine Kapazität von 80 GByte. Ein Double-Layer-DVD-Brenner (DVD+R DL, DVD+R/RW, DVD-R/RW, CD-RW) ist fest ins Gehäuse integriert.Acer 1691WLMi Zu den Anschlussmöglichkeiten zählen ein internes V.92-56K-Faxmodem, Gigabit-LAN und 54-Mbps-WLAN. Wie für ein Centrino-Gerät üblich kommt dabei eine Mini-PCI-Steckkarte von Intel zum Einsatz: das PRO/Wireless-2200BG-Modul für IEEE 802.11b/g. Zu den I/O-Schnittstellen zählen eine Infrarotschnittstelle (FIR), drei USB-2.0-Ports, ein Firewire-400-Anschluss, je ein VGA- und ein S-Video-Ausgang, ein PC-Card-Steckplatz (PCMCIA Typ II) und ein 4-in-1 Card Reader. Letzterer schluckt Speicherkaren der Typen MultiMediaCard (MMC), Secure Digital (SD), Memory Stick und Memory Stick Pro. Sound kann über Lautsprecher, den Kopfhörerausgang und S/PDIF wiedergegeben werden.Acers neues CrystalBrite-Notebook kommt mit TouchPad inkl. Scrolltaste und verschiedenen, teils programmierbaren Sondertasten. Das 36,4 x 27,9 x 33,9/38,9 cm große Gerät wiegt 2,95 kg und soll mit voll aufgeladenem Lithium-Ionen-Akku rund 3,5 Stunden arbeiten. Das Aspire 1691WLMi soll ab sofort für 1.299,- Euro angeboten werden. Als Betriebssystem ist die Windows XP Home Edition vorinstalliert. Zur weiteren Software-Ausstattung zählen neben einigen Acer-Tools auch Microsoft Works, CyberLink PowerDVD und NTI CD-Maker.Mit der Exilim Pro EX-P505 stellt Casio jetzt eine Digitalkamera vor, die sowohl für Foto- als auch Filmaufnahmen geeignet sein soll. Die 5-Megapixel-Kamera verfügt über ein bewegliches, 2 Zoll großes TFT-Farbdisplay, das Aufnahmen aus unterschiedlichsten Winkeln erlaubt. Filmaufnahmen sind dabei schon vor dem Drücken des Auslösers möglich. Im Fotomodus soll EX-P505 in etwa 0,8 Sekunden bei ausgeschaltetem Blitz und internem Speicher einsatzbereit sein. Die Auslöseverzögerung gibt der Hersteller mit 0,01 Sekunden nach erfolgter Fokussierung und bei ausgeschaltetem Blitz an. Die Kamera bietet neben dem Automatikmodus auch die Casio-typischen Bestshot-Programme und erlaubt eine manuelle Einstellung der Blenden und Verschlusszeiten. Casio Exilim Pro EX-P505 Dank einer Super-Makro-Funktion sollen Aufnahmen von Fotos und Filmen ab 1 cm Entfernung möglich sein. Dabei kommt ein Objektiv mit 6,3 bis 31,5 mm (f3,3 bis f3,6) zum Einsatz, was 38 mm bis 190 mm bei 35-mm-Kleinbildkameras entspricht. Es verfügt über zehn Linsen in acht Gruppen samt einer asphärischen Linse. Dabei erreicht die Kamera maximal eine Auflösung von 2.560 x 1.920 Pixeln und unterstützt die ISO-Einstellungen 50, 100, 200 und 400.Filme nimmt die EX-P505 mit maximal 640 x 480 Pixeln auf und benötigt im High-Quality-Modus bei 30 Bildern pro Sekunde 4,2 MBit/s. Dabei zeichnet die Kamera im MPEG4-Format samt Stereo-Ton auf. Neu sind dabei die so genannten Movie-Bestshot-Funktionen, ähnlich den Bestshot-Szenarien wie Portrait oder Landschaftseinstellungen im Fotomodus. Die Past-Movie-Funktion zeichnet zudem kontinuierlich alles auf, was dem Regisseur vor die Linse kommt. Nach Drücken des Auslösers speichert sie die vergangenen 5 Sekunden vor Beginn der Aufzeichnung zusätzlich mit ab.
Casio Exilim Pro EX-P505 In der Short-Movie-Funktion können kurze Movies in bis zu 8 Sekunden Länge gedreht werden. Auch hier ist der Aufzeichnungsbeginn frei wählbar und es obliegt dem Filmenden, ob der Film vor, mit oder nach Drücken des Auslösers aufgenommen werden soll. Insgesamt bringt die Kamera bis zu 14 Sekunden Film in hoher Qualität in ihrem internen Speicher unter, auf eine SD-Card mit 256 MByte passen gut 8 Minuten.Die schwarze Kompaktkamera unterstützt den PictBridge- und USB-Direct-Print-Standard. Des Weiteren lassen sich Fotos und Filme per USB 2.0 auf den PC und via AV-Ausgang direkt auf den Fernseher übertragen. Zum Lieferumfang gehören die dafür benötigten USB-Kabel, AV-Kabel und neben Software ein Lithium-Ionen-Akku mit Ladegerät. Die Exilim Pro EX-P505 soll ab März 2005 für 499,- Euro im Handel erhältlich sein.Das auf der PalmSource-Konferenz in München im September 2004 vorgestellte PalmOS-Smartphone Qool QDA-700 soll nun auch in Deutschland erhältlich sein. Ursprünglich wollte der aus Singapur stammende Hersteller Qool Labs das kompakte Smartphone mit Klappdeckel, 1,3-Megapixel-Digitalkamera und SD-Card-Steckplatz bereits im November 2004 auf den deutschen Markt bringen. Qool QDA-700 Das PalmOS-Smartphone Qool QDA-700 besitzt eine 1,3-Megapixel-Digitalkamera und ein TFT-Display mit einer Auflösung von 240 x 320 Pixeln. Das Display wird durch einen Klappdeckel vor Beschädigungen geschützt. Der Deckel lässt sich mit einem Knopfdruck öffnen, so dass sich viele Funktionen einhändig ausführen lassen. Qool QDA-700 Mit Maßen von 57,7 x 103,5 x 24 mm kommt das PalmOS-Smartphone QDA-700 auf die Größe eines herkömmlichen Klapp-Handys, allerdings muss man dafür auf eine Handy-Klaviatur verzichten, so dass viele Funktionen nur über den Touchscreen möglich sind. Für die Texteingabe dient ein ein- und ausblendbares Soft-Graffiti-Feld. Um das ständige Zücken nach dem Stift zu umgehen, stehen vier Funktionsknöpfe sowie ein 5-Wege-Navigator für die Steuerung zur Verfügung.Qool QDA-700 Im Innern des Qool QDA-700 werkelt ein mit 200 MHz getakteter ARM-Prozessor vom Typ Dragonball i.MXL von Motorola sowie 32 MByte RAM-Speicher, der über einen Steckplatz für SD-Cards und MMC erweitert werden kann. Durch die Unterstützung von SDIO lassen sich so auch Funktionen nachrüsten.Qool QDA-700 Das Tri-Band-Gerät für die GSM-Netze 900, 1.800 sowie 1.900 MHz unterstützt GPRS der Klasse 10, besitzt aber kein Bluetooth, sondern nur eine Infrarotschnittstelle. Als Betriebssystem kommt PalmOS 5.4 in einem 32-MByte-Flash-ROM zum Einsatz, worüber Termine, Adressen und Aufgaben verwaltet werden können. Aber auch der Besuch von Webseiten, das Abrufen von E-Mails sowie das Abspielen von MP3- oder MPEG4-Dateien ist damit möglich. Außerdem gehört Documents To Go von DataViz zum Lieferumfang, um damit auf Word- und Excel-Daten zugreifen zu können. Qool QDA-700 Das 139 Gramm wiegende PalmOS-Smartphone soll mit einer Akkuladung eine Sprechzeit von 3,5 Stunden liefern und im Empfangsmodus etwa 5 Tage durchhalten. Da der Akku austauschbar ist, kann man die Laufzeit durch einen Zweitakku verlängern.Das PalmOS-Smartphone Qool QDA-700 bietet unter anderem der PDA-Online-Händler Handhirn.de zum Preis von 469,- Euro ohne Mobilfunkvertrag an. Im September 2004 nannte der Hersteller einen empfohlenen Verkaufspreis von rund 550,- Euro.Creative hatte es mit dem TravelSound MP3 vorgemacht, nun bietet auch Philips ein mitnehmbares PC-Lautsprechersystem mit integriertem MP3-Player und Radio. Das Philips MP3-Soundsystem PSS110 verfügt zwar über keinen Speicherkarten-Steckplatz, dafür aber über 256 MByte Flash-Speicher. Philips PSS110 Die Maße (58 x 53 x 182 mm) des 350 Gramm wiegenden PSS110 sollen vier Packungen Papiertaschentüchern entsprechen. Bei den Stereo-Lautsprechern setzt Philips auf seine Titan-Treiber-Technik XSL Acoustics, die trotz des kleinen Klangkörpers voluminösen Sound verspricht. Die Lautsprecherleistung gibt Philips mit 2 Watt (RMS) an. Das hintergrundbeleuchtete 5-Zeilen-Display des Geräts zeigt auch Titel-Informationen (ID3-Tags) zu Musikstücken an. Sierra devrait pour sa part commencer à déployer le LTE-M dès 2017 pour des clients dans le domaine de l’énergie et la fourniture électrique. Il faudra néanmoins attendre que les opérateurs mettent à jour leurs réseaux mobiles. « Cela se fera par simple mise à jour logicielle, ce qui permet de déployer très vite », assure le porte-parole de Sierra. De quoi répondre aux besoins des clients qui exportent dans le monde entier et veulent s’appuyer sur un seul module pour déployer vite.Le LTE-M, et les autres technologies M2M de Sierra Wireless seront soutenus par l’activité d’opérateur que le Canadien a amorcé avec le rachat, en 2015, de deux MVNO (opérateur de réseau mobile virtuel) IoT/M2M : Maingate en Suède et Mobiquithings en France. Au-delà des 700 000 lignes apportées, les éléments de réseau acquis vont permettre à Sierra de lancer des offres mondiales de cartes SIM et de connectivité. Seule la ressource radio passera par des accords avec les opérateurs pour l’achat de data. « Nous sommes multi-opérateurs, précise Olivier Beaujard, selon les accords passés avec les opérateurs, nous pré-chargeons les accès aux réseaux sur notre SIM. En France, par exemple, quand vous activez un module SIM, vous pouvez avoir accès aux quatre opérateurs mobiles. On devient agnostique, ce qui nous permet d’offrir le meilleur réseau pour l’application du client. » Pour la suite, Sierra se tourne déjà vers la 5G. « On y travaille, nos équipes la voit comme la suite du LTE-M, pour des objets qui nécessitent très peu de débit, une consommation optimisée et leur authentification », commente Olivier Beaujard. De quoi se positionner avantageusement sur le prometteur marché de l’Internet des objets en devenir.La première gamme de tablettes Ubuntu du marché, signée BQ, est maintenant accessible en précommande, avec une date de livraison programmée pour fin avril.Le constructeur espagnol BQ propose ses tablettes Ubuntu en précommande. L’Aquaris M10 Ubuntu Edition est accessible en deux versions pourvues respectivement d’un écran IPS 10,1 pouces HD (1280 x 800 points) et 10,1 pouces Full HD (1920 x 1080 points). Cette tablettes sont accessibles au prix de 259,90 euros TTC et 299,90 euros TTC. La livraison est prévue pour fin avril. L’écran n’est pas la seule différence qui distingue ces deux modèles. La version HD utilise une puce MediaTek MT8163B comprenant quatre cœurs ARM 64 bits Cortex-A53 cadencés à 1,3 GHz et un GPU ARM Mali-T720 MP2 à 520 MHz. La mouture Full HD mise sur un composant MediaTek MT8163A proposant des cœurs plus rapides (1,5 GHz) et un GPU lui aussi plus véloce (600 MHz). Dans les deux cas, 2 Go de RAM et 16 Go de mémoire flash sont proposés.Le reste des caractéristiques de ces tablettes se veut identique. Elles affichent ainsi une épaisseur de 8,2 mm, un poids de 470 g et une large autonomie, du fait de la présence d’une batterie de 7280 mAh.Mais plus que tout, c’est la présence du système d’exploitation Linux Ubuntu 15.04 qui fait la différence. Une première sur une tablette. Cet OS pourra s’adapter au monde desktop, via la connexion du terminal sur un écran externe (au travers de la prise micro HDMI) et à un ensemble clavier/souris (connecté par exemple en Bluetooth). CyanogenMod 13 Release 1 est accessible sur une sélection de smartphones. Cet OS mobile est basé sur le code source d’Android 6.0.1.Le travail de mise au point de CyanogenMod 13, OS mobile basé sur le code d’Android 6.0, est en bonne voie. Après une intense phase de développement et de test, les promoteurs du projet viennent en effet de livrer une première mouture officielle de cette offre.CyanogenMod 13.0 Release 1 profite de toutes les avancées proposées par Android 6.0.1, comme une gestion améliorée de la batterie des terminaux mobiles, et un nouveau système permettant – enfin – de gérer avec précision les droits accordés aux applications. Une solution qui complétera efficacement Privacy Guard, toujours proposé sous cette version de CyanogenMod. Par défaut, c’est le système de sécurité de CyanogenMod qui est à l’œuvre. Toutefois, si les applications Google sont installées (dont l’accès au Play Store), la solution de la firme prend le relais.L’OS se veut également plus proche du code source de Google. L’application de gestion des SMS et MMS est ainsi issue du projet AOSP et non plus proposée par Qualcomm. Attention toutefois, car certaines applications propres à CyanogenMod n’ont pas encore été adaptées à cette nouvelle mouture de l’OS.
Un large ensemble de terminaux mobiles est aujourd’hui supporté par CyanogenMod 13.0 Release 1. L’installation ou la mise à jour du système ne seront toutefois par à la portée des débutants, qui préféreront probablement s’appuyer sur un terminal préinstallé avec Cyanogen OS, lequel basculera lui aussi en version 13… mais à une date qui n’a pas encore été précisée.Let’s Encrypt annonce avoir délivré plus de 1 million de certificats SSL/TLS gratuits. Le service est né en novembre 2014 avec le soutien de l’EFF (Electronic Frontier Foundation) et des acteurs de l’IT comme Cisco, Akamai, Mozilla. L’objectif était de créer une autorité de certification alternative et gratuite pour pousser le chiffrement des connexions aux sites Web. Ce projet intervenait en réaction à la surveillance massive de la NSA dévoilée par le lanceur d’alertes Edward Snowden. Après plusieurs mois de travaux, une première preview a été lancé en décembre 2015 et force est de constater que le résultat est au rendez-vous 3 mois après ces premiers pas. D’autres initiatives existent dans ce domaine comme le français Gandi qui propose le SSL gratuit avec chaque nom de domaine la première année (les suivantes étant facturées 12 euros HT, ce qui reste très accessible). AlphaGo remporte la première manche de son duel avec le champion du monde de Go. Le programme informatique développé par Google est parvenu à remporter une partie contre celui que l’on considère comme le meilleur joueur de Go au monde. Plusieurs dizaines de milliers d’internautes ont suivi l’affrontement, retransmis en direct sur YouTube ainsi que sur certaines chaînes TV, notamment en Asie, constate ITespresso. Il était environ 4h30 ce matin à Paris quand la rencontre, organisée au Four Seasons Hotel de Séoul, a débuté. Il aura fallu 186 coups et plus de trois heures et demie de jeu pour déclarer un vainqueur. La machine s’en est tirée de peu après avoir longtemps été menée. Android N entre les mains des développeurs ? Android 7, la prochaine version de l’OS mobile de Google, pourrait très prochainement atterrir entre les mains des développeurs en version preview. Et bien avant Google I/O, la conférence développeurs attendue du 18 au 20 mai prochains. C’est ce que laisse entendre un article publié en ligne, puis rapidement retiré, de Ars Technica mais qu’un membre de Reddit s’est empressé de copier pour le poster sur le populaire forum. L’article, probablement retiré à la demande de Google, laissait entendre que « la prochaine version d’Android est lancée maintenant. Google a déployé Android N Developer Preview pour le Nexus 6P, Nexus 5X, Nexus 6, Pixel C, Nexus 9, Nexus Player, et le General Mobile 4G, un téléphone Android One ». Au menu des nouveautés, un mode application côte-à-côte (pour profiter de plusieurs applications sur un même écran), un panneau de notification plus interactif, ou encore une amélioration de la gestion de l’autonomie de la batterie. Autant de nouveautés qui seront confirmées prochainement. Ou pas. Intel investit dans le Replay Intel a racheté Replay Technologies, une start-up israélienne spécialisée dans la capture vidéo d’événements sportifs et la rediffusion instantanée des enregistrements sous différents angles de prises de vue. Une activité très éloignée de l’offre processeur mais avec laquelle Intel entend capitaliser dans sa stratégie de numériser le sport à coup de calculs informatiques. « Plus que jamais, tout dans le sport devient numérique et mesurable, estime le PDG de la firme Brian Krzanich. Cela va changer fondamentalement tout ce que nous savons sur les performances des athlètes – et leurs domaines de compétition. » Autant de traitements numériques qui font justement appel aux puissances de calcul des processeurs Intel. Drôle d’aventure pour Jason Hughes, un spécialiste en sécurité et aussi propriétaire d’une voiture électrique Tesla modèle P85D. Le hacker blanc, comme il se définit, n’a pas pu s’empêcher d’analyser le firmware du véhicule. Et dans la version 2.13.77, il a découvert une photo en format PNG du logo d’une voiture la P100D que Tesla ne commercialise pas encore. Selon les spécialistes, le constructeur prépare une voiture dotée d’une batterie de 100 KWh, alors que les véhicules actuels proposent une gamme de batterie allant de 70 à 90 KWh.
Fort de sa découverte, Jason Hughes a envoyé un message chiffré (en SHA256) via Twitter à Elon Musk pour lui faire part de sa découverte avec ce petit mot, « Je connais votre secret ». Pour être sûr d’attirer l’attention du milliardaire américain, il a également posté le même message codé sur le forum de Tesla très fréquenté.S’il n’a pas fallu longtemps pour d’autres hackers pour découvrir le message secret de Jason Hughes, les équipes de Tesla n’ont, semble-t-il, pas apprécié la manœuvre. Au point qu’au lendemain de son initiative, le conducteur a eu la désagréable surprise de voir le firmware de son véhicule rétrogradé à une version antérieure, la 2.12.45. Il a donc repris son clavier pour féliciter les équipes d’Elon Musk d’avoir rétrogradé son firmware. Le CEO de Tesla s’est fendu d’un message en retour expliquant qu’il n’avait pas donné d’ordre pour faire cela et qu’« un bon hacking est un cadeau ». Phrase sibylline et un peu abscons, mais qui ne dément l’arrivée prochaine d’une nouvelle Tesla plus performante. Par contre la technique de downgrade est un peu osée et même limite en matière de sécurité. Heureusement, Jason Hughes avait pris ses précautions en sauvegardant le dernier firmware pour le réinstaller.Grâce à Ceed, le Raspberry Pi 3 est proposé sous la forme d’un ordinateur portable, le pi-top, et d’une machine tout-en-un, le pi-topCEED. Lundi dernier sortait le Raspberry Pi 3, une nouvelle carte mère ARM pourvue d’un processeur 64 bits comprenant 4 cœurs Cortex-A53 cadencés à 1,2 GHz, épaulés par 1 Go de RAM.Il n’aura pas fallu longtemps pour qu’un autre britannique, Ceed, adopte cette solution. Ce dernier le propose en bundle avec son pi-top, un ordinateur portable conçu spécifiquement pour accueillir un Raspberry Pi. Mais aussi avec son pi-topCEED, un écran permettant de transformer un Raspberry Pi en ordinateur tout-en-un.Le pi-top est proposé avec un Pi 3 pour 299 dollars HT, soit environ 330 euros TTC (hors frais de port). À 135 dollars HT, soit environ 150 euros TTC, le pi-topCEED est plus attractif. Chose d’autant plus vraie qu’à ce prix, le Raspberry Pi 3 est inclus (sans, il ne coûte que 110 euros TTC), ainsi qu’une carte SD de 8 Go et qu’une carte de prototypage pi-topPROTO. Une offre à durée limitée.Il est encore trop tôt pour savoir si le pi-topCEED tiendra ses promesses. L’écran semble de bonne qualité, mais le degré d’inclinaison de la machine – même s’il est ajustable – nous semble peu adapté à un monde desktop où les écrans sont positionnés de façon parfaitement verticale. Les défauts du pi-top sont, pour leur part, connus. L’ordinateur portable souffre de sa batterie fixe, de son clavier de qualité parfois moyenne et – surtout – du manque de choix dans la disposition de ce dernier. Impossible en effet de le commander en version azerty. Dommage.Une vulnérabilité dans l’application NissanConnect EV expose au piratage des fonctionnalités de la Nissan Leaf, la voiture 100 % électrique la plus vendue au monde.L’application NissanConnect EV (anciennement Carwings) permet de gérer certaines fonctions de la Nissan Leaf directement depuis un smartphone (surveillance de l’état de charge de la batterie, programmation de la recharge, mise en marche du chauffage et de la climatisation, etc.). Troy Hunt, un chercheur australien en cybersécurité, a démontré qu’une simple faille de sécurité dans l’application peut exposer au piratage l’ordinateur de bord de ce véhicule électrique. Der 150 Gramm wiegende Jackito-PDA wird von Novinit in einer Grundausbaustufe angeboten und kann vor der Bestellung umkonfiguriert werden, was dann aber den Preis in die Höhe treibt. So besteht die Grundkonfiguration aus einem schwarz-weißen Touchscreen, 16 MByte RAM-Speicher sowie 2,5 MByte Flash-ROM und zwei getrennt arbeitenden Prozessoren, die für einen möglichst niedrigen Stromverbrauch sorgen sollen. So steckt im 138 x 78 x 16 mm messenden Jackito-PDA auch kein Akku, sondern der Strom kommt aus einer gewöhnlichen AA-Batterie, die das Schwarz-Weiß-Modell mehrere Wochen lang mit Strom versorgen können soll. Jackito-PDA Der RAM-Speicher kann bei der Bestellung um weitere 64 MByte aufgestockt werden oder später über gleich zwei SD-Card-Steckplätze mit passenden Speicherkarten erweitert werden. Der Jackito-PDA lässt sich gegen Aufpreis um eine MP3-Wiedergabemöglichkeit, ein UKW-Radio oder eine Bluetooth-Funktion erweitern. Als Betriebssystem kommt 3ActilOS zum Einsatz, das Multitasking-Funktionen in Echtzeit bietet. Zum Software-Lieferumfang gehören eine Reihe von Applikationen, um die üblichen PDA-Funktionen wie Adress-, Termin-, Aufgaben- und Notizverwaltung abwickeln zu können. Das nicht zu anderen Systemen kompatible Betriebssystem könnte dafür sorgen, dass das Gerät noch längere Zeit ein Nischendasein fristen wird. Auch der recht hohe Preis von 600,- US-Dollar für das Grundmodell wird kaum für eine zügige Verbreitung sorgen. Will man statt des Schwarz-Weiß-Displays lieber ein Farbmodell haben, erhöht sich der Preis auf 738,- US-Dollar. Alternativ wird der Jackito-PDA per Internet-Shop mit einem anderen Schwarz-Weiß-Display angeboten, das weniger Strom verbraucht, aber das Gerät ebenfalls verteuert, so dass der Preis dann bei 723,- US-Dollar liegt.In verschiedenen Internetforen hat die Art der Bestellabwicklung von Novinit für Verunsicherung gesorgt. Forenteilnehmer vermuten, dass es sich gar nicht um ein reales Produkt handelt und man mit einer raffinierten Masche Geld scheffeln will. Denn auf der Novinit-Webseite werden Bestellungen nur per PayPal abgewickelt und die Firma erwartet für eine Bestellung eine Vorauszahlung von 100,- US-Dollar. Die Lieferzeit wird mit 90 Tagen angegeben. Derzeit lässt sich allerdings nicht abschätzen, ob dies Grund für eine Verunsicherung ist, da es sich bei Novinit um ein kleineres Unternehmen handelt, das mit dem Jackito-PDA ein erstes Produkt auf den Markt bringt. Eine Anfrage wegen der Vorwürfe läuft bereits, bislang gab es aber keine Antwort. Auf eine Rückfrage beim Hersteller Novinit versicherte dieser, dass es sich beim Jackito-PDA um ein reales Produkt handelt.Nikon stellt mit den Digitalkameras Coolpix 7900 und 5900 zwei Modelle mit 7 und 5 Megapixeln vor, die mit einer Reihe interessanter Funktionen ausgerüstet sind. Beide Kameras sind mit einem Nikkor-Objektiv mit 3fachem Zoom-Umfang und einem Brennweitenbereich von 38 bis 114 mm (entsprechend Kleinbild) und einer Lichtstärke von F2,8 bis F4,9 ausgestattet. Nikon Coolpix 5900Der 2-Zoll-TFT-LCD-Monitor mit 115.000 Bildpunkten zeigt während der Aufnahme das Livebild an und dient anschließend dem Betrachten bereits gespeicherter Aufnahmen. Die Menüsteuerung verfügt über Hilfetexte, so dass man bei selten verwendeten Funktionen nicht unbedingt gleich das Handbuch benötigt.Bei Serienaufnahmen erreicht die Coolpix 7900 eine Bildrate von ca. 1,7 Bildern pro Sekunde, die Coolpix 5900 sogar von ca. 2 Bildern pro Sekunde. Beide Kameras sind mit einem Mehrfeldautofokus mit einer automatischen Messfeldsteuerung über fünf Messfelder sowie einer freien manuellen Messfeldpositionierung an 99 Messpositionen ausgestattet. Nikon Coolpix 5900 Dazu kommt eine von Nikon neu eingeführte Autofokusfunktion mit Gesichtspriorität, die bei Porträtaufnahmen - in Kombination mit dem Motivprogramm "Porträt" - die Gesichter von Personen im Bildfeld erkennen soll und auf sie fokussiert. Der Weißabgleich ist mit sieben manuellen Einstellungen und Weißabgleichsreihen vornehmbar.Wie die meisten Kompakt-Digitalkameras verfügen die Coolpix 7900 und 5900 über eine Reihe von Motivprogrammen, die für typische Aufnahmesituationen die passenden Einstellungen automatisch vornehmen. Von den 16 Motivprogrammen sind vier Motivassistenten, die mit einigen Gestaltungshilfen daherkommen. Neu unter den Motivprogrammen dieser Modelle ist das Motivprogramm für die Unterwasserfotografie, mit dem - in Kombination mit dem neuen Unterwassergehäuse WP-CP4 eingesetzt - beim Schnorcheln oder Tauchen Aufnahmen mit natürlichen Farben gelingen sollen.
Die "D-Lighting"-Funktion soll die tiefen Farbpartien eines Bildes aufhellen und die Detailzeichnung hervorheben, ohne dass dabei die helleren Bildpartien verändert werden. Der bei Blitzlichtaufnahmen gelegentlich auftretende Rote-Augen-Effekt soll mit Hilfe einer kamerainternen Korrekturfunktion beseitigt werden. Bei aktivierter Funktion wird das Bild unmittelbar nach der Aufnahme automatisch auf rote Pupillen hin untersucht und diese gegebenenfalls korrigiert.Auch für die Aufnahme bewegter Motive sind die Coolpix 7900 und 5900 geeignet. So lassen sich Filmsequenzen mit Ton bei einer Bildrate von 30 Bildern pro Sekunde in VGA-Größe mit 30 Bildern pro Sekunde auf die SD-Speicherkarten aufzeichnen. Ein eingebautes Mikrofon sorgt für die Aufzeichnung von Sprachnotizen mit einer Länge von bis zu 20 Sekunden. Man kann sie entweder einzeln oder als Kommentar zu Bildern hinzufügen. Nikon Coolpix 7900 Der Lithium-Ionen-Akku hat bei vollständiger Aufladung eine Kapazität für ca. 220 Aufnahmen mit der Coolpix 7900 bzw. ca. 270 Aufnahmen mit der Coolpix 5900. Darüber hinaus kann die Stromversorgung der Kameras auch mit Hilfe von handelsüblichen Lithium-Batterien vom Typ CP1 sichergestellt werden.Die Kameras messen 60 x 88 x 36,5 mm und wiegen ohne Akku und Speicherkarte ca. 150 Gramm. Die Coolpix 7900 ist in Schwarz und Silber, die Coolpix 5900 nur in Silber erhältlich. Die Coolpix 5900 wird für 319,- Euro voraussichtlich ab Februar 2005 und die Coolpix 7900 voraussichtlich ab März 2005 für 429,- Euro erhältlich sein.Bereits in anderthalb Jahren soll sie einsatzreif sein: die erste Batterie auf Basis von Nanotechnologie. Die Entwickler versprechen sich vor allem eine Lagerdauer von mehreren Jahrzehnten. Trotz fortschrittlicher Akku-Technologien wie Lithium-Polymer-Akkus ist die klassische Primärzelle gerade bei professionellen Anwendungen nicht wegzudenken. Alle Akkus entladen sich nämlich innerhalb von Monaten selbst und sind somit nicht lagerfähig. Das ist unangenehm, wenn etwa ein Fotograf nach monatelanger Expedition fernab jeder Steckdose keine Bilder mehr schießen kann oder das Walkie-Talkie eines Soldaten im Einsatz versagt. Bisher sind hier immer noch die klassischen Technologien wie Alkali-Batterien verbreitet - doch auch die besten dieser Zellen haben nach fünf Jahren deutlich an Kapazität verloren. Auch die sehr viel teureren Lithium-Zellen lassen sich nur maximal zehn Jahre lagern. Spezielle Notfall-Batterien, bei denen Elektrolyt und Elektrode mechanisch getrennt sind, lassen sich länger lagern - aber nicht selbsttätig aktivieren, hier ist immer der Mensch gefragt.Diese Probleme will nun das Forschungsunternehmen mPhase in Zusammenarbeit mit Lucent gelöst haben: Die erste Batterie auf Basis von Nanotechnologie funktioniert bereits im Labor. Dabei befindet sich die Elektrode auf dem Boden eines Feldes aus "Nanogras". So nennen die Forscher eine regelmäßige Anordnung von Nano-Stäbchen, die etwa ein Tausendstel der Dicke eines menschlichen Haares erreichen. Auf diesen Stäbchen sitzt das Elektrolyt in Form von "Droplets". Durch eine Kombination mehrerer physikalischer Effekte, etwa der Oberflächenspannung, sind diese Droplets im Ruhezustand der Batterie mechanisch völlig stabil und können nicht mit der Elektrode in Kontakt kommen. Wird die Zelle aktiviert, verflüssigen sich die Droplets vollständig und laufen an den Nano-Stäbchen nach unten. Das Elektrolyt kommt in Kontakt mit der Elektrode, die chemische Reaktion beginnt und Strom wird erzeugt.Wie mPhase diese Aktivierung in der Praxis realisieren will, ist derzeit noch das große Geheimnis. Nach Angaben des Unternehmens lässt sich die Batterie beispielsweise durch Funkwellen oder, paradoxerweise, durch Anlegen einer Spannung starten. Das gilt es also noch zu lösen - die Nano-Batterie soll auch erst in den nächsten 12 bis 18 Monaten auf den Markt kommen. [von Nico Ernst]Das niederländische Unternehmen Canyon hat eine optische Maus im Programm, die vor allem zur Präsentationssteuerung vorgesehen ist. Die kompakte Maus steuert Powerpoint-Präsentationen, regelt Wiedergabe-Lautstärke und verfügt zudem noch über einen eingebauten Laserpointer. Die Canyon-Presenter-Maus CN-MSOPTW1 wird mit einer Akku-Ladeschale ausgeliefert und besitzt einen Ein-Aus-Schalter, so dass sie zuverlässig ausgeschaltet werden kann, wenn sie nicht im Betrieb ist. Die Maus arbeitet mit einem optischen Sensor mit einer Auflösung von 800 dpi.
Über einen Funktionsschalter auf der Unterseite wählt der User aus den Modi "Mausbetrieb", "Presenter-Mode" und "Off". Im Präsentationsmodus dienen die linke und rechte Maustaste zum Vor- und Zurückblättern innerhalb einer Powerpoint-Präsentation. Ein Druck auf das Scrollrad aktiviert den integrierten Laser-Pointer. Über die drei seitlich angebrachten Tasten steuert der User außerdem die Lautstärke oder stellt den Ton ganz ab.Die Canyon-Presenter-Maus wiegt 64 Gramm und soll ab sofort zu einem Verkaufspreis von 39,- Euro erhältlich sein. Im Lieferumfang befindet sich neben der Presenter-Maus mit integriertem Akku auch ein Funkempfänger, der gleichzeitig als Ladestation fungiert. Außerdem liegt ein Samt-Etui für den Transport bei.Im Gegensatz zu der seit Oktober 2004 erhältlichen, etwas breitschultrigen Exilim Pro EX-P700 hat Casio jetzt ein 7-Megapixel-Modell im schlanken Gehäuseformat der Z-Serie vorgestellt, das gerade einmal 89 x 58,5 x 22,4 mm misst. Die Exilim EX-Z750 verfügt auf Grund dieser Bauform nur über ein 3fach-Zoom (Brennweite 38 mm bis 114 mm, F2,8/ 4,0), während die große Schwester ein 4fach-Zoom besitzt. Die Bilder der Kamera werden ganze 3.072 x 2.304 Pixel groß. Trotz der geringen Abmessungen ist auf der Rückseite ein 2,5-Zoll-Display mit einer Auflösung von 115.200 Pixeln untergebracht. Nach Herstellerangaben ist die Kamera nach ca. 0,9 Sekunde betriebsbereit und bietet eine Auslöseverzögerung von nur 0,007 Sekunden (bei ausgeschaltetem Blitz und nach erfolgter Fokussierung). Die Kamera bietet einen Autofokus, der sich klassisch auf die Bildmitte festlegen kann, mehrere Punkte beobachten und den nahe gelegensten auswählen kann oder einen frei positionierbaren Scharfstellpunkt bietet. Manuell kann ebenfalls scharf gestellt werden. Ein kontinuierlicher Autofokus dient bei schnell bewegten Motiven zur Scharfstellung.Die Exilim EX-Z750 erlaubt Verschlusszeiten zwischen 1/8 und 1/1600 Sekunde in der Programmautomatik. Bei Verwendung der Blenden-Priorität ergibt sich die Möglichkeit, auch mit einer Sekunde zu belichten. Bei Verschlusszeiten-Priorität oder manueller Einstellung kann man bis zu 60 Sekunden belichten.Wer sich lieber auf voreingestellte Motivprogramme verlässt, kann unter einigen typischen Aufnahmeszenarien wählen. Zudem gibt es einige Kunstfilter, wie man sie sonst nur von der elektronischen Bildverarbeitung her kennt: Mit "Art Shot" beispielweise werden Fotos zu kleinen Kunstwerken, die der Malerei zu entstammen scheinen. Dafür gibt es Pastell-, Pop- oder Gitterfilter. Das Programm "ID Shot" dupliziert ein fotografiertes Portrait automatisch mehrfach in passender Größe für amtliche Dokumente auf einem Foto. Das ebenfalls neue "Continious Zoom Shooting" erleichtert die Qual der Wahl des passenden Zoom-Faktors. Pro Drücken des Auslösers macht es gleich zwei Aufnahmen mit unterschiedlichen Bildausschnitten.Außerdem kann die kleine Kamera Filme im MPEG4-Format ohne Zeitlimit samt Ton (640 x 480 Pixel, 30 Bilder/Sekunde) aufzeichnen. Die Kamera speichert auf SD-Karten und verfügt über einen internen Speicher von 8,3 MByte. Der Akku soll für bis zu 325 Aufnahmen (nach CIPA-Standard) gut sein.Die USB-Dockingstation mit USB 2.0 (High-speed) dient der Übertragung der Bilddaten auf den PC und unterstützt PictBridge und den USB-Direct-Print-Standard. Mittels AV-Ausgang an der Dockingstation oder des optional erhältlichen AV-Kabels können Filme und Fotos auch direkt am Fernseher betrachtet werden. Jide travaille dans les coulisses à l’intégration de son offre dans de nouveaux produits. En plus des PC tout-en-un AOC dévoilés aujourd’hui, Remix OS devrait s’inviter dans la clé USB MeeGoPad 02, qui sera équipée d’une puce ARM 32 bits disposant de 8 cœurs cadencés à 2 GHz, et, au choix, de 1 Go de RAM / 16 Go de Flash ou 2 Go de RAM / 32 Go de Flash (voir à ce propos « Un Android desktop dans une clé USB »). Un ordinateur portable low cost est également évoqué.Jide pourrait réussir là où les concepteurs de PC ARM desktops échouent depuis des années. Il est en effet difficile de proposer un OS Linux traditionnel sur de nouveaux processeurs ARM, alors que l’adaptation de Remix OS est triviale. Rappelons en effet que cette solution demeure basée sur Android. Or, Android est proposé d’entrée de jeu sur toutes les puces mobiles, et ce directement par leurs concepteurs. En marchant sur les traces d’Android, Remix OS bénéficie donc de sa logithèque, mais aussi de son écosystème matériel. Seul regret, le manque d’initiative de la part de Jide Technology dans le secteur de la protection des données personnelles. Nous aurions aimé sur ce point que la société adopte la position de Cyanogen, qui propose un outil permettant de gérer finement les droits accordés aux applications.La FZ-B2 de Panasonic est une tablette Android résistante (IP65), bien équipée, mais proposée à un prix dissuasif de 898 euros… hors taxes.Panasonic présente sa nouvelle tablette durcie, la FZ-B2. Un terminal ultra résistant, mais aussi ultra cher, puisqu’annoncé à 898 euros HT. Un record pour une tablette 7 pouces.Mais il est vrai que ce terminal propose une protection IP65, soit une armure capable de résister à tout type de poussière et protégée contre les jets d’eau (mais pas contre les immersions dans l’eau). La tablette résistera aussi aux chutes d’une hauteur de 1,5 m et pourra fonctionner avec des températures allant de -10° à +50°. Pas mal pour une tablette de 540 g et de 1,8 cm d’épaisseur.L’autonomie se fixe à 8 heures ; 16 heures avec une batterie étendue. L’écran tactile de 7 pouces (1280 x 720 points) est un modèle capacitif 10 points, qui pourra fonctionner avec des gants et qui propose une luminosité poussée à 500 cd/m². Il est surmonté par une webcam 8 mégapixels. Le moteur de la FZ-B2 est un processeur Intel Atom x5-Z8550, une puce comprenant 4 cœurs x86 64 bits cadencés à 1,44 GHz (2,4 GHz en pointe). Android 6.0 est aux commandes de cette machine, épaulé par la technologie Google Android for Work, qui permet de séparer environnements professionnel et personnel.Côté connectique, un port USB 3.1 de type C est proposé. WiFi 802.11ac et Bluetooth 4.2 sont de la partie. La 4G et l’Ethernet restent accessibles en option, tout comme des lecteurs de codes-barres ou de cartes à puce.Le ZenBook 3 d’Asus se veut un sérieux concurrent du MacBook 12 pouces d’Apple… sous Windows 10 et en Intel Core i.En marge du Computex 2016 de Taïpei (Taïwan), Asus a présenté ses nouvelles offres, qui mettent sans surprise l’accent sur la mobilité, avec plusieurs annonces dans le secteur des machines deux-un-en, placées à mi-chemin entre tablettes et ordinateurs portables.Mais c’est un notebook pur jus qui nous intéresse ici, le ZenBook 3. Avec ses 910 grammes et ses 11,9 mm d’épaisseur, la cible de cet ordinateur portable 12,5 pouces (1920 x 1080 points) est toute désignée : le MacBook 12 pouces d’Apple. Chose d’autant plus vraie que la qualité semble être au rendez-vous : châssis en aluminium, écran de type Gorilla Glass, clavier rétroéclairé et lecteur d’empreintes digitales.
Le stockage passe par des unités PCI Express, plus rapides que les SSD Sata classiques. Un port USB Type-C est également présent. La batterie est donnée pour 9 heures d’autonomie, avec une charge de 60 % assurée en 50 minutes. Le tout sera accessible au cours du troisième trimestre. Bref, pendant l’été.Passons maintenant aux points négatifs. L’OS tout d’abord : ce sera Windows 10. Le châssis pourrait également se montrer salissant, du fait de son look brillant. Enfin, le bruit devrait être au rendez-vous en charge, le refroidissement étant assuré par un ventilateur, et non passif comme sur d’autres ultraportables.La filiale californienne d’EDF, spécialisée dans les énergies renouvelables, collecte et analyse ses données de production dans SAP Hana. Dans ce secteur, les Big Data font partie des services qu’attendent les clients. Basée à San Diego, la filiale d’EDF Energies Nouvelles aux Etats-Unis porte une part des ambitions de l’énergéticien français sur le créneau des énergies renouvelables. Des ambitions affirmées puisque EDF, dans le cadre de son plan stratégique pour 2030, entend doubler sa production d’énergie renouvelable à cette échéance. Pour Matthias Beier, le vice-président en charge de l’IT de la filiale américaine, la plus importante de cette branche du groupe, cet objectif est indissociable d’une meilleure exploitation de la donnée.EDF Energies nouvelles« Nous exploitons des fermes éoliennes immenses, des centrales de production solaire, des centres de stockage d’énergie sur batteries (afin de vendre des services d’équilibrage de charge sur le réseau, NDLR) ou encore des centrales de biomasse ou de biogaz, explique le responsable. Toutes ces installations génèrent d’impressionnants volumes de données. Mais, jusqu’à récemment, nous n’utilisions pas très bien ces informations. » Il y a 18 mois, la filiale d’EDF à San Diego se lance donc en quête d’un système à même de centraliser cette masse de données. Et se tourne vers SAP Hana, la base de données In-Memory de l’éditeur allemand. « Car nous avions besoin d’analyses de données en quasi-temps réel », justifie Matthias Beier, qui écarte tout recours à une technologie traditionnelle de datawarehouse impliquant des duplications de données. Pour mettre en place cette architecture, EDF Renewable Energy – le nom de cette branche du groupe français outre-Atlantique – et son intégrateur KPIT ont travaillé avec SAP et l’éditeur OSIsoft, spécialiste d’outils de collecte des données issues des Scada, pour développer un connecteur dédié pour Hana. « La solution d’OSI Soft collecte les données et gère les historiques ; elle est reliée à la plate-forme Hana vouée à exposer les données aux utilisateurs, qui y accèdent via des outils comme Tableau ou Business Objects », détaille le DSI. Selon ce dernier, la mise en place de l’infrastructure a demandé six mois de travail, le projet, basé sur des appliances Cisco UCS, a été livré dans les temps et respecte le budget initial.« Les services que cette infrastructure permet de délivrer à nos clients ne sont pas associés à un retour sur investissement direct, détaille Matthias Beier. Mais ils font partie de ce que les clients nous demandent. » Particulièrement, une nouvelle génération de clients : des géants de la tech, comme Microsoft ou Google, qui veulent alimenter leurs datacenters en énergies ‘vertes’ et ne comprendraient pas de ne pas avoir accès à toutes les données relatives à sa production. « C’est un service que nous nous devions d’offrir », résume le vice-président d’EDF Renewable Energy. Pour ce faire, la filiale de l’énergéticien a développé un portail permettant d’exposer des tableaux de bord de son activité.
Les données issues des équipements industriels sont d’ores et déjà croisées avec des données géospatiales ou issues des systèmes opérationnels (la filiale tourne sous SAP R/3). EDF Renewable Energy envisage d’y adjoindre les informations sorties de son CRM (notamment concernant les baux où sont installés ses équipements). « Et la prochaine étape consistera à ajouter de l’intelligence sur la plate-forme, via notamment du Machine Learning », reprend Matthias Beier. L’objectif ? Utiliser l’entrepôt de données à des fins internes cette fois, afin de mettre en place une maintenance prédictive des installations et également optimiser les tournées des techniciens sur le terrain.Malin, le constructeur Gole profite de la licence Windows 10 accordée gratuitement aux terminaux mobiles de petite taille pour proposer une machine pensée surtout pour le desktop. Le constructeur de PC Gole choisit la voie du crowdfunding pour financer le lancement de son nouveau mini PC, le Gole1. Une offre accessible au prix de base de 79 dollars HT (environ 85 euros TTC), licence de Windows 10 incluse.Comment Gole est-il arrivé a un tel résultat ? En intégrant un écran tactile de 5 pouces à son offre, ainsi qu’une batterie permettant d’assurer à peine 2 heures d’autonomie en mobilité. Service minimum en mode tablette pour ce PC de poche. Mais tel n’est pas son but. Grâce à ces caractéristiques, cette machine a droit à la gratuité de la licence Windows 10, accordée aux terminaux mobiles de petite taille.Le gain pour le constructeur est estimé entre 25 et 35 dollars. De quoi largement compenser l’ajout d’un écran et d’une batterie d’entrée de gamme. Afin toutefois que la campagne Indigogo ne se transforme pas en campagne Attrapenigo, la firme propose la possibilité de démarrer sous Android 5.1. Un OS qui sera plus à l’aise que Windows 10 sur un écran d’une telle diagonale. C’est toutefois bien évidemment en mode desktop que cette solution se montrera la plus efficace. Tout est prévu : un connecteur HDMI, 4 ports USB (dont un en 3.0), une sortie audio et une connectivité réseau comprenant port Ethernet à 10/100 Mb/s, WiFi 802.11n et Bluetooth 4.0. Le tout dans un format de seulement 13,5 x 9 x 2 cm. Le moteur de ce mini PC est une puce Intel Atom x5-Z8300, proposant quatre cœurs (sans hyperthreading) cadencés à 1,44 GHz (1,86 GHz en mode turbo).Deux modèles de Gole1 sont proposés : le premier propose 2 Go de RAM et 32 Go d’espace de stockage, pour 79 dollars. Le second passe à 4 Go de RAM et 64 Go d’espace de stockage, pour 99 dollars. Des tarifs promotionnels qui basculeront respectivement à 99 et 129 dollars par la suite, ce qui reste raisonnable. À noter, la présence d’une offre 20 dollars plus chère, qui permet d’installer un disque interne de 2,5 pouces.Intel et Wind River proposent un ensemble de matériels et de logiciels adaptables aux équipements industriels pour faire remonter des informations aux systèmes IT, tout en assurant leur sécurité face aux attaques. En connectant des machines qui sont habituellement gérées localement, il ne sera demain plus nécessaire d’envoyer du personnel sur site pour contrôler la température d’un bâtiment, pour réguler la consommation électrique ou encore récupérer des relevés critiques. C’est ce qu’on appelle l’Internet des Objets, ou IoT (Internet of Things).Cependant, deux problèmes se posent : d’une part, les systèmes industriels en place ne sont pas tous connectés aux bases Big Data, ni aux solutions décisionnelles qui vont incarner l’intelligence logicielle de cet Internet des Objets ; d’autre part, se passer d’un technicien habilité à la maintenance laisse la porte ouverte à l’intervention d’un individu malveillant ou d’un dispositif d’espionnage.Pour répondre à ces deux problématiques, il convient de déployer un dispositif qui achemine la donnée du capteur de l’objet connecté jusqu’au datacenter en la sécurisant d’un bout à l’autre de la chaîne. Dans les domaines de l’industrie, de l’énergie et de la santé, les équipements possèdent chacun une connectique locale. Intel et Wind River proposent de relier celle-ci à un boîtier passerelle qui, à l’instar d’une box Internet domestique, s’occupera de transférer les informations du site au centre de données de l’entreprise.Ce boîtier, qui constitue un point d’agrégation de l’information sur site, présente le triple avantage d’acheminer en temps réel – via une connexion Internet ou privée – des informations jusqu’ici intransportables, d’être certifié selon des normes de sécurité en vigueur et de pouvoir être mis à jour chaque fois qu’une menace inédite est découverte.En pratique, Intel et Wind River fournissent des éléments que l’entreprise adapte pour ses propres besoins et équipements. Ainsi, les cartes électroniques Intel labellisées Gateway Solutions for IoT peuvent servir à assembler un boîtier qui filtre les données avant de les remonter, voire qui prend lui-même des décisions. S’il détecte qu’une alimentation tombe en panne, par exemple, il peut décider d’activer lui-même une batterie locale de secours avant que le poste de contrôle de l’entreprise ne décide de l’intervention à effectuer. Das Konzept hinter Dana sieht vor allem Autoren als potenzielle Kunden, die viel schreiben und häufig unterwegs sind. Das können Schriftsteller, Journalisten oder auch Studenten sein, die mit Dana eine willige Gehilfin und ausdauernde Arbeitsstute für die mobile Texterfassung erhalten. Aber auch die mobile Bearbeitung von E-Mails erledigt Dana problemlos. Wer damit Excel-Tabellen pflegen oder PowerPoint-Präsentationen erstellen mag, wird mit dem PalmOS-Smartphone weniger glücklich, weil die geringe Display-Auflösung hier gewisse Grenzen setzt. Noch sind nur wenige PalmOS-Applikationen von Fremdherstellern an die ungewöhnliche Display-Auflösung angepasst, so dass die zur Verfügung stehende Auflösung nicht immer so nutzbar ist, wie man das gerne hätte. Wenn einem die mitgelieferten Applikationen ausreichen, stört dies jedoch nicht. Allerdings wünschte man sich einen niedrigeren Preis für Dana, da dieser doch im Vergleich zu einem Windows- oder MacOS-Notebook zu hoch erscheint, weil das PalmOS-Notebook viele Aufgaben nicht erledigen kann. Speziell für Apples iPod Mini stellt Altec Lansing ein kompaktes Lautsprechersystem vor, das aus dem Festplatten-MP3-Player eine mobile Musikanlage macht. Das unter dem Namen iMmini firmierende Lautsprecher-Set orientiert sich für einen optisch stimmigen Gesamteindruck an dem Äußeren eines iPod iMmini Das iMmini besteht aus zwei 2-Wege-Lautsprechern und umfasst eine Dockingstation für den iPod Mini, um darüber auch Daten zwischen MP3-Player und Rechner übertragen zu können. Ein Aluminiumgitter schützt die Lautsprecher vor Beschädigungen und ein integrierter, digitaler Verstärker wird unterwegs mit insgesamt vier AA-Batterien mit Strom versorgt. Der Hersteller verspricht eine kontinuierliche Nutzungsdauer mit einer Batteriefüllung von mehr als 24 Stunden. Außerdem kann das System mit einem zum Lieferumfang gehörenden Netzteil betrieben werden, was dann auch den Akku des iPod Mini lädt, wenn dieser in der Dockingstation residiert. iMmini Für einen druckvollen Bass ohne Subwoofer soll die verwendete MaxxBass-Technik sorgen, die sich bei der professionellen Audiotechnik bedient und spezielle Harmonieverfahren benutzt. Die Musikleistung der Lautsprecher liegt bei 4 Watt RMS. Mit Maßen von 17,8 x 2,5 x 11,2 cm und einem Gewicht von 283,5 Gramm lässt sich das Lautsprecher-Set leicht verstauen, um es etwa auf Reisen mitzunehmen. Ein zweiter Audio-Eingang mit 3,5-mm-Stecker erlaubt den Anschluss anderer Audiogeräte, während für den iPod Mini ansonsten die Dockingstation die Weitergabe des Audiosignals an die Lautsprecher übernimmt. Im Spätsommer 2004 soll das Lautsprecher-Set inMotion iMmini in den USA zum Preis von 129,95 US-Dollar in den Handel kommen. Ein Termin oder ein Preis für eine deutsche Markteinführung sind derzeit nicht bekannt.Der Hemminger-Anbieter TRISoft bietet Sharps Linux-PDA Zaurus SL-6000L demnächst auch in Deutschland an. Nachdem das Gerät mit einer 400-MHz-XScale-CPU und integriertem WLAN die erforderliche EMV-Prüfung bestanden hat, soll es ab Mitte September lieferbar sein. Sharp Zaurus Sl-6000L Sharps Zaurus SL-6000L basiert auf dem XScale-Prozessor PXA255 mit 400 MHz von Intel und verfügt über ein transflektives Display mit Hintergrundbeleuchtung, das bei einer Auflösung von 480 x 640 Pixeln maximal 65.536 Farben darstellen kann. Zudem verfügt der PDA im Hochkantformat über eine ausziehbare Mini-Tastatur.
Das Gerät ist mit 64 MByte Flash-Speicher sowie 8 MByte ROM und 64 MByte SDRAM ausgestattet und verfügt über Kartenslots für CompactFlash- (Typ II) und SD-Cards. Ein WLAN-Modul nach IEEE 802.11b ist ebenso integriert wie eine Infrarot-Schnittstelle (IrDA 1.2), Mikrofon und ein Lautsprecher. Im Lieferumfang befindet sich darüber hinaus eine Dockingstation, über die das Gerät um einen USB-Anschluss erweitert werden kann.Die Stromversorgung erfolgt über einen austauschbaren Lithium-Ionen-Akku mit 1.500 mA.Der Sharp Zaurus SL-6000L misst 80 x 158 x 23 Millimeter und wiegt rund 284 Gramm. Er soll ab Mitte September für 849,- Euro bei TRISoft erhältlich sein. Sharp selbst bietet sein neues PDA-Modell nicht mehr in Deutschland an.Die beiden neuen Photosmart-Drucker von HP sind für den spontanen Fotoausdruck von Digitalkameras gedacht: Sie sollen innerhalb von nur 60 Sekunden ein Bild im Format 10 x 15 Zentimeter, mit und ohne Rand - direkt zum Mitnehmen - aufs Papier bringen. Als zusätzliches Format können mit dem Passbild-Modus vier Bilder auf ein Blatt gedruckt werden. Beide Farbtintenstrahler arbeiten hochgerechnet mit einer Auflösung von bis zu 4.800 dpi. Über die Farbdisplays der Geräte kann der Anwender das Druckergebnis beeinflussen, Fotos auswählen oder löschen. Der HP Photosmart 325 verfügt über ein 3,8 Zentimeter großes Display, das aufstellbare LCD-Farbdisplay des HP Photosmart 375 bietet zusätzlichen Komfort: Auf 6,4 Zentimetern Fläche kann der Anwender die Bilder zoomen, drehen, zuschneiden und rote Augen automatisch korrigieren. Der HP Photosmart 375 ermöglicht zudem Ausdrucke in den Einfärbungen Antik und Sepia. Für den Anschluss an Computer, Notebook oder die Digitalkamera-Dockingstation steht eine USB-Schnittstelle zur Verfügung. Für den direkten Ausdruck der Fotos sorgen Steckplätze für alle gängigen Speicherkartenformate (darunter CompactFlash, SmartMedia, Memory Stick oder xD-Picture-Card). Für Drucke in Schwarz-Weiß gibt es die optionale HP-Nr.-100-Fotodruckpatrone in Grau.Die Photosmart-Drucker sind mit einem Gewicht von nur 1.200 Gramm ausgesprochen tragbare Begleiter. Ein Standardnetzteil, ein optionaler Akku oder Kfz-Adapter sorgen dabei auch unterwegs für die nötige Energie. Die beiden Fotodrucker sind Mac- und PC-kompatibel und sollen ab 1. September 2004 erhältlich sein. Den HP Photosmart 325 gibt es für 179,- Euro, den HP Photosmart 375 mit integriertem HP-BT300-Bluetooth-Adapter für kabellosen Druck für 249,- Euro. Der private Elektronikbastler Brian Gardiner hat sich eine Handheld-Version der PSOne gebaut, mit der sich Playstation-1-Spiele auch unterwegs spielen lassen. Die beiden bisher existierenden, als PalmPSOne getauften Umbau-PSOnes sollen allerdings im Akkubetrieb nicht lange durchhalten. PalmPSOne Der 27jährige Xerox-Angestellte Gardiner hat es geschafft, eine PSOne samt PSOne-Zubehör-LCD, Controller und Akku in ein handliches Gehäuse zu packen - das CD-Laufwerk befindet sich ungeschützt auf der Rückseite des Eigenbau-Handhelds. Gegenüber IGN gab Gardiner an, dass die zum Einsatz kommenden Metall-Hydrid-Akkus der PalmPSOne nur etwa anderthalb Stunden durchhalten, bis sie wieder aufgeladen werden müssen. Die inoffizielle tragbare PSOne entstand innerhalb von drei Monaten und die beiden resultierenden PalmPSOne-Modelle schlagen mit einigen hundert US-Dollar an Materialkosten zu Buche. Die Zeit- und die Materialkosten wären den meisten wohl viel zu hoch gewesen. Mag sein, aber es musste getan werden, scherzt Gardiner auf seiner eigens eingerichteten PalmPSOne-Website.
PalmPSOne Die in in Handarbeit gefertigte PalmPSOne will er nicht verkaufen, der Aufwand wäre so hoch, dass er mindestens 500,- US-Dollar verlangen müsste - einen Preis bei dem wohl nur die spendabelsten Retro-Gamer ja sagen würden. Zudem dürfte Sony der Selbstbau nicht gefallen, was auch Gardiner auf seiner Website selbst vermutet.Gardiner ist übrigens nicht der Erste, der eine PSOne zum Handheld machte, dies gelang Ben Heckendorn schon im September 2001 mit seinem Playstation Portable. Das Design ist etwas anders, aber auch Heckendorn platzierte das nicht abgedeckte CD-Laufwerk auf der Rückseite.Sony selbst will Ende 2004 mit seinem eigenen ersten Handheld, der PSP, aufwarten. Diese soll unter anderem mehr Leistung als die PSOne bieten sowie drahtloses Netzwerkspiel via WLAN erlauben; Spiele werden von einem neu entwickelten, speziellen und somit nicht zu kopierendem optischen Mini-Medium (UMC) geladen.Der US-Hersteller GoVideo hat seine MP3-Player-Marke Rave wiederbelebt und vier neue Geräte vorgestellt. Interessant sind allerdings weniger die Flash- sondern vielmehr die Festplatten-MP3-Player der neuen Rave-MP-Serie. Rave-MP ARC 2.5/5.0 Während GoVideo beim Rave-MP ARC 2.5 auf eine 2,5-GByte-Festplatte setzt, kommt im Rave-MP ARC 5.0 eine 5-GByte-Festplatte zum Einsatz. Dabei setzt GoVideo - wie auch Rio Audio beim Rio Carbon - auf die neuen Seagate-Festplatten. Per USB-2.0-Schnittstelle lassen sich beide ARC-Modelle mit MP3s (40 bzw. 80 Stunden bei 128 kbps) oder WMAs bespielen. Für Microsofts kommendes und rigideres DRM-System Janus sind beide laut Hersteller vorbereitet. Auch andere Daten lassen sich mitnehmen, da die Geräte als externe Festplatten angesteuert werden.Rave-MP ARC 2.5/5.0 Das hintergrundbeleuchtete Monochrom-LCD (128 x 64 Pixel) zeigt - wie fast alle modernen MP3-Player - auch Titel-Infos, sofern diese ins Musikstück eingebettet sind. Ein 5-Band-Equalizer wird ebenfalls geboten. Sowohl der Rave-MP ARC 2.5 als auch der Rave-MP ARC 5 sind mit internem FM-Tuner (20 Programmplätze) ausgestattet und können das laufende Radio-Programm als WAV-Datei aufzeichnen; außerdem taugen beide ARC-Modelle zur Sprachaufzeichnung, ebenfalls im WAV-Format. Der fest eingebaute Lithium-Ionen-Akku der beiden ARC-Modelle soll über 10 Stunden durchhalten, das volle Aufladen dauert laut Hersteller mindestens 5 Stunden. Die Abmaße und das Gewicht der Geräte nennt GoVideo nicht. Neben einem Netzteilanschluss findet sich noch ein 3,5-mm-Stereo-Klinkenstecker am Gehäuse, in welches der jeweils mitgelieferte Kopfhöhrer gesteckt wird.Rave-MP AMP 128/256 Von den Funktionen her entsprechen die beiden ebenfalls neuen Flash-Player Rave-MP AMP 128 and AMP 256 den eben beschriebenen Festplatten-MP3-Playern, sind aber mit ihrem robusteren Flash-Speicher (128 bzw. 256 MByte) auch für Sportler geeignet. Erweitern lassen sich die AMP-Modelle per SD/MMC-Card - um bis zu 1 GByte. Die Stromversorgung übernimmt eine AAA-Alkaline-Batterie, womit die Sport-MP3-Player über 16 Stunden durchhalten sollen.Die Flash-MP3-Player Rave-MP AMP 128 und AMP 256 kosten 100,- respektive 130,- US-Dollar. Für die Festplatten-MP3-Player Rave-MP ARC 2.5 und ARC 5.0 sind 200,- bzw. 230,- US-Dollar auf den Tisch zu legen. Im September 2004 sollen alle in den USA ausgeliefert werden, Pläne für weitere Regionen will GoVideo erst später bekannt geben. Côté écran, BlackBerry a opté pour un format maintenant devenu classique : du 5,2 pouces en Full HD (1080 x 1920 points). Pour les photos, deux capteurs de 13 mégapixels (ouverture de f/2.0) et 8 mégapixels (ouverture de f/2.2) sont proposés.Progressivement, mais rapidement, Flash sera écarté du navigateur web Firefox. À la clé, des performances en progrès, moins de plantages et une autonomie sur batterie renforcée.Le greffon Adobe Flash reste encore assez largement utilisé pour l’affichage d’animations, de publicités ou de vidéos sur Internet. Il est toutefois source de charge processeur, voire d’instabilité pour le navigateur web. Fort de ce constat, Mozilla compte réduire drastiquement l’utilisation de Flash dans son navigateur web Firefox.Au fil des ans, l’organisation a adopté diverses spécifications HTML5 permettant aujourd’hui de se passer de Flash, par exemple lors de la lecture de vidéos sur YouTube et Facebook. « Depuis que les sites internet sont passés du format Flash à d’autres technologies basées sur le web, le taux de plantage de Firefox a significativement diminué », constate Benjamin Smedberg, responsable qualité de Firefox chez Mozilla. L’organisation compte poursuivre ses efforts, en bloquant dès cette année le contenu Flash remplaçable par du HTML ou invisible aux yeux des utilisateurs (comme les outils de mesure d’audience). Les plantages et blocages devraient ainsi être réduits de 10 %, les performances du butineur grimperont et l’autonomie sur batterie des ordinateurs portables sera améliorée.Une étape supplémentaire sera franchie en 2017 : « En 2017, avant qu’un site internet puisse active le format Flash, Firefox requerra l’assentiment de l’utilisateur », explique Benjamin Smedberg. À partir de mars 2017, Firefox ne supportera plus aucun greffon, si ce n’est Flash, et ce de façon limitée donc.Des notifications de Windows 10 recommandent d’adopter Edge en lieu et place de Chrome ou Firefox, pour gagner en autonomie sur batterie. En juin, Microsoft dévoilait que son navigateur web de nouvelle génération, Edge, se montrait nettement plus économe en ressources que les offres concurrentes, comme Chrome (voir « Edge, un parangon d’efficacité énergétique face à Chrome »). Un phénomène qui concerne également la lecture de vidéos sur la Toile (voir « Le navigateur web Edge enfonce la concurrence en lecture vidéo »).Le site VentureBeat a noté l’apparition d’une notification alertant les utilisateurs sur le fait que Chrome / Firefox épuisent la batterie plus rapidement. L’éditeur conseille alors de basculer vers son offre, Edge.« Ces conseils ont été créés pour fournir aux gens une information rapide et facile qui peut les aider à améliorer leur expérience Windows 10. Cela dit, avec Windows 10, vous pouvez facilement choisir le navigateur et le moteur de recherche par défaut » explique un porte-parole de Microsoft.La firme joue une nouvelle fois avec les lignes, en utilisant les notifications de son OS pour mettre en avant un autre de ses produits.Reste que les qualités d’Edge sont bien réelles. Le navigateur web de nouvelle génération de l’éditeur est un des plus véloce et efficace du marché. Toutefois, son interface utilisateur spartiate fait qu’il est boudé par les internautes.
Ce succès d’estime d’Edge pourrait malgré tout se transformer en succès tout court avec l’arrivée de Windows 10 Anniversary Update, qui proposera une nouvelle version du butineur, plus rapide encore, plus fonctionnelle et extensible via des modules complémentaires.Une nouvelle campagne aux Etats-Unis de Microsoft promet un ordinateur portable gratuit en cas d’impossibilité de migrer vers Windows 10 depuis la version 8 en une journée.A l’approche du 29 juillet, date butoir pour obtenir Windows 10 gratuitement, Microsoft lance une campagne marketing aux Etats-Unis pour le moins originale. Elle incite les utilisateurs éligibles à la migration avec un PC portable à la clé.Concrètement, Microsoft offre un PC portable, en l’occurrence un Dell Inspiron 15, si l’installation de Windows 10 sur un PC éligible n’a pas réussi à se dérouler en une journée. La firme de Redmond ne prend pas beaucoup de risque avec cette proposition. La plupart des migrations ne prennent pas plus d’une heure d’installation et se déroulent bien. A noter que cette campagne ne concerne que Windows 8. Pas de Windows 7, un choix un peu surprenant quand on connaît l’importance de la part de marché de cet OS. Autre point pour valider l’offre du PC portable, il faut apporter l’ordinateur réfractaire dans un magasin Microsoft pour vérifier que la migration ne s’est pas bien effectuée. Si le personnel arrive à installer Windows 10, l’utilisateur partira non seulement avec un OS gratuit, mais aussi une ristourne de 20 dollars sur Office 365 Home.Dans sa promotion, Microsoft indique que le PC pour être éligible « doit s’allumer, la batterie doit garder la charge et ne pas avoir besoin d’être branché pour fonctionner, et être pleinement fonctionnel, sans composants cassés, manquant, etc, provoquant la perte de garantie ». Nos confrères de Yahoo constatent également que le Dell Inspiron 15 promis en récompense se décline en deux modèles 3000 et 5000 comprenant des puces AMD et Intel. Il y a fort à parier que Microsoft ait choisi le modèle 3000 d’entrée de gamme comme lot. Cette campagne est une des dernières pour inciter les personnes à migrer sur Windows 10. Des méthodes parfois agressives qui ont été critiquées par leur insistance. Des migrations parfois manquées comme l’a montré une responsable d’agence de voyage, dont l’activité a été bloquée par une installation de Windows 10 loupée. Pour éviter un procès, Microsoft avait négocié le paiement de 10 000 dollars.La prochaine version du navigateur web Edge confirme ses excellentes capacités en lecture vidéo, tant sur le plan de la résolution que des besoins en énergie.Il y a un mois, Microsoft vantait les capacités de la prochaine version du navigateur web Edge à concurrencer des solutions comme Chrome sur le terrain des besoins en énergie (voir « Edge, un parangon d’efficacité énergétique face à Chrome ») et des performances (voir « Le navigateur web Edge creuse l’écart avec la concurrence »).La firme remet aujourd’hui le couvert en présentant de nouveaux résultats de tests, où la lecture en boucle d’une vidéo a épuisé la batterie de l’ordinateur en 7 heures 22 minutes sous Edge, contre 6 heures 18 minutes avec Opera, 5 heures 9 minutes sous Firefox et 4 heures 19 minutes avec Chrome. Le secret de cette réussite : l’utilisation des capacités du GPU à décoder les vidéos en lieu et place du processeur via la technologie DXVA (DirectX Video Acceleration) et une gestion fine de l’énergie utilisée par le processeur. Des techniques aussi employées par la concurrence, mais que la firme de Redmond pousse ici à leur paroxysme.Microsoft enfonce le clou en indiquant que lors de son test, Opera, Firefox et Chrome affichaient une vidéo Netflix encodée en 720p, alors qu’Edge proposait du 1080p. « Microsoft Edge propose la plus haute qualité de contenu et également la plus longue autonomie sur batterie », conclut laconiquement la firme.Toutes ces avancées, et bien d’autres (comme le support des extensions), seront présentes dans la version d’Edge livrée avec Windows 10 Anniversary Update.Le ZenFone 3 Deluxe d’Asus est le premier smartphone annoncé comme adoptant le nouveau Snapdragon 821 de Qualcomm. Un terminal mobile extrême.
Hier, Qualcomm présentait le Snapdragon 821, successeur de son 820. Voir à ce propos l’article « Le Snapdragon 820 de Qualcomm a déjà un successeur ». La firme promettait de premiers smartphones équipés de cette offre pour le second semestre 2016.Asus a été le plus rapide et présente d’ores et déjà un téléphone mobile en Snapdragon 821, une version révisée du ZenFone 3 Deluxe. Un, terminal qui devrait se montrer environ 10 % plus rapide que son prédécesseur.Au menu, un Snapdragon 821 comprenant 4 cœurs 64 bits cadencés à 2,4 GHz, 6 Go de RAM et 256 Go de stockage en UFS 2.0 (aux performances dignes des disques durs traditionnels). Une machine de haut de gamme, dont la vitesse de traitement et la capacité de stockage battent allégrement celles de certains PC traditionnels proposés il y a seulement quelques années. Le reste de l’équipement est à la hauteur de ce moteur, avec un écran Full HD de 5,7 pouces, deux capteurs d’images de 23 et 8 mégapixels, une batterie de 3000 mAh et bien entendu la connectivité 4G, apportée par le processeur Qualcomm.Un prix d’environ 24.990 dollars taïwanais HT (plus de 840 euros TTC) est évoqué pour ce terminal mobile de haut de gamme, qui ne devrait arriver qu’en septembre. Là encore, c’est le prix d’un PC de milieu de gamme.Avec OpenCellular, Facebook propose une solution de réseau mobile sans fil entièrement Open Source pour étendre la connectivité à Internet.Facebook poursuit sa croisade pour rendre l’accès Internet accessible au plus grand nombre. Pour l’heure, l’entreprise de Menlo Park s’en tient aux prototypes d’équipements réseau et n’entend pas devenir fournisseur de masse ou opérateur. Mais, toujours, avec cette volonté de fournir le résultat de ses travaux en mode Open Source pour le partager avec qui veut et espérer accélérer la progression des développements, des innovations et, surtout, des déploiements. C’est dans cet esprit que Facebook a présenté OpenCellular, une plate-forme d’accès sans fil à la sauce software-defined. La solution supporte l’ensemble des protocoles mobiles du moment, 2G, 3G et 4G LTE. Mais pas le Wifi, apparemment. Elle se compose de deux sous-systèmes principaux : GBC (General-baseband computing), la partie bande de base embarquant capacité de calcul et alimentation électrique d’une part; la cellule radio avec un frontal analogique d’autre part (schéma ci-dessous).Le module GBC dispose de plusieurs interfaces d’alimentation électrique qui pourra le rendre énergétiquement autonome. Soit par alimentation fournie par Ethernet (PoE, Power over Ethernet), soit solaire, soit encore sur batterie (externes ou internes). Le système dispose également de ses propres mécanismes de maintenance grâce à des capteurs chargés de surveiller la température, le courant ou le voltage. De son côté, la partie radio embarque un système de gestion du signal par logiciel (SDR, pour le pilotage à distance) ou embarqué (system on a chip). Les deux supportent de nombreuses piles logiciels Open Source et commerciale, assure Facebook. Le modèle software-defined vise à fournir une gestion distante et simplifiée, voire automatisée lorsque le système nécessite une reconfiguration, et à émettre des alarmes en cas de nécessité de maintenance. OpenCellular se présente donc comme une solution de réseau clé en main avec ses deux modules (radio associée à GBC), ou plus simplement seulement comme un point d’accès lorsque le module radio est exploité indépendamment du GBC (mais seule la version avec le système de pilotage embarqué est alors disponible). Facebook entend livrer le design matériel de son projet ainsi que les firmware et logiciels de pilotage aux opérateurs, entrepreneurs, équipementiers et autres chercheurs pour les inciter à déployer des accès sans fil depuis cette plate-forme. L’entreprise a conçu sa solution pour qu’elle résiste à des conditions extrêmes (vents violents, températures élevées ou basses…). Enfin, OpenCellular peut-être déployée au niveau de la rue par une seule personne comme installée sur un point haut (pylône, bâtiment, arbre…) pour un rayonnement plus large. « Le matériel a été conçu dans un esprit de simplicité, pour encourager les gens à déployer leurs propres réseaux cellulaires […] sans nécessiter d’expertise technique », indique Facebook Un projet qui pousse les équipes de Facebook à travailler également sur les problématiques de système de gestion du réseau, de bande de base, d’amplificateur de signal, de filtre, de dispositif de montage, et d’antennes. Bref, tout un spectre habituellement couvert par les équipementiers afin d’étendre la connectivité aux zones les moins accessibles aux opérateurs, généralement pour des raisons économiques. Un réseau mobile, ça coûte cher à déployer et entretenir, surtout si les utilisateurs n’ont pas les moyens de souscrire à des abonnements onéreux derrière. « Avec OpenCellular, nous voulons développer de nouvelles technologies abordables qui peuvent accroître la capacité et rendre plus rentable pour les opérateurs de déployer des réseaux dans des endroits où la couverture est rare. En rendant Open Source des conceptions matérielles et logicielles pour cette technologie, nous espérons réduire les frais pour les opérateurs et la rendre accessible à de nouveaux participants », résume l’ingénieur chez Facebook Kashif Ali. Wie lange sich der Verkaufsstopp durch Händler und Netzbetreiber hinziehen wird, ist laut Financial Times Deutschland offen. Offenbar wartet man auf das versprochene Software-Update.Siemens warnt vor Hörschäden durch einen Fehler in der Handy-Firmware der 65er-Linie, was durch Abschalten der Ausschaltmelodie umgangen werden kann. Siemens überarbeitet bereits die Firmware-Versionen für die verschiedenen Modelle und will korrigierte Fassungen bald zum Download anbieten. Von dem Problem sind alle Siemens-Mobiltelefone aus der 65er-Baureihe betroffen. Dazu gehören neben den Typen C65, CX65, M65, S65 und SL65 auch alle Betreibervarianten wie CV65, CT65, CXV65 und CXT65. Durch einen Softwarefehler kann es beim automatischen Abbruch eines Telefonats durch einen leeren Akku möglicherweise zum lauten Abspielen der Ausschaltmelodie kommen. Im schlimmsten Fall könnte die hohe Lautstärke zu Hörschäden führen. Siemens nennt als Einschränkung, dass die Gefahr nur besteht, wenn das Handy beim Abspielen der Melodie direkt ans Ohr gehalten wird. Um diese Gefahr vorerst zu umgehen, empfiehlt Siemens, die Ausschaltmelodie bzw. die Ausschaltanimation in den Klingeltoneinstellungen zu deaktivieren. Ohnehin rät Siemens, ein laufendes Telefonat bei dem ersten Akku-Warnton zu beenden. Nach Siemens-Angaben tritt das Problem nur bei der der Softwareversion 11 und kleiner auf und auch nur, wenn bestimmte Voraussetzungen erfüllt werden. Dazu zählt, dass der Akku während eines Telefonats soweit entladen sein muss, dass der Warnton im Laufe einer Minute dreimal ertönt. Kurz vor dem endgültigen Ausschalten wird dann die Ausschaltmelodie in bestimmten Fällen in zu hoher Lautstärke abgespielt.Siemens hat nach eigenen Angaben bereits eine bereinigte Gerätesoftware entwickelt, die nach erfolgreicher Freigabe der Netzbetreiber in den nächsten Wochen kostenlos zum Update bereitgestellt werden soll.Mit Secufone soll in Kürze ein Tri-Band-Handy mit integriertem GPS-Empfänger auf den deutschen Markt kommen, das in Notsituationen Kontakt zu einer Notfall-Zentrale aufnimmt. Ein Knopfdruck ruft die Notruf-Zentrale an und übermittelt die aktuelle GPS-Position, während man im Gespräch die näheren Umstände des Notfalls angibt. Secufone Am oberen Ende des Secufone prangt eine rote Alarmtaste, über die bei Betätigung sofort eine Notfall-Zentrale angerufen und die im Mobiltelefon integrierte Freisprechfunktion aktiviert wird. Letzteres soll das Telefonieren selbst in schwierigen Situationen garantieren und einem so ermöglichen, nähere Angaben zu der eigenen Notlage zu machen. Derweil übermittelt das Secufone die letzte mit dem GPS-Empfänger bestimmte Position des Gerätenutzers und übermittelt diese an die Notfall-Zentrale, welche so den Unglücksort erfährt. Unklar ist derzeit, wer diese Notfall-Zentrale betreibt und ob bei der Nutzung des Dienstes oder der Bereitstellung Gebühren anfallen. Im Unterschied zu den meisten Mobiltelefonen verfügt das Secufone über ein Touchscreen, worüber alle wichtigen Funktionen gesteuert werden. Darüber gibt man also Telefonnummern ein respektive sucht nach zu wählenden Adresseinträgen. Der Verzicht auf eine Handy-Tastatur sorgt im Alltag dafür, dass das Gerät nicht etwa beim Laufen benutzt werden kann und man für die Bedienung stehen bleiben muss. Immerhin stehen vier Knöpfe am Gerät für einige grundsätzliche Handy-Funktionen bereit.Secufone Ansonsten bietet das 139 x 66 x 24,8 mm messende Gerät nur die wichtigsten Handy-Funktionen: Dazu gehören Tri-Band-Funktion für den Einsatz in den GSM-Netzen 900, 1.800 sowie 1.900 MHz, GPRS-Unterstützung, die erwähnte Freisprechfunktion und ein Adressbuch mit der Möglichkeit, einzelnen Kontakten ein Portraitbild zuzuweisen.
Das 160 Gramm wiegende Handy kann bei aktivierter GPS-Funktion im Empfangsmodus genau 24 Stunden mit einer Akkuladung betrieben werden, weshalb der Akku im Grunde täglich aufgeladen werden muss. Die Sprechzeit gibt der Hersteller mit 5 Stunden an.Ohne Mobilfunkvertrag kostet das Secufone 899,- Euro, während man bei Abschluss eines O2-Mobilfunkvertrags mit einer Laufzeit von 24 Monaten 699,- Euro zahlt. Wann genau das bereits bestellbare Mobiltelefon ausgeliefert wird, ist derzeit nicht bekannt.Sony erweitert seine "Photo-Storage-Produkte" um die Festplatte HDPS-M1. Die 40-GByte-Platte erlaubt es, Fotos von der Speicherkarte der Digitalkamera auszulagern; sie nimmt dazu neben Sonys Memory Stick auch CompactFlash-Karten auf. Mit einem Tastendruck lassen sich die Bilder dabei von der Speicherkarte auf das "Hard Disk Photo Storage Laufwerk" kopieren. Der Anschluss an den PC erfolgt per USB 2.0. Die zum Lieferumfang des Laufwerks gehörende Software "Photo Diary" stellt grundlegende Bildbearbeitungsfunktionen zur Verfügung und sortiert die Bilder nach Tag und Monat. Das handgroße HDPS-M1 wiegt 295 Gramm und verfügt laut Sony über ein robustes Anti-Schock-Design. Die Lithium-Ionen-Batterie verfügt über eine intelligente Ladefunktion, die aktiviert wird, sobald das HDPS-M1 an einen PC oder ein Netzteil angeschlossen ist. Mit einer voll aufgeladenen Batterie kann das Laufwerk bis zu einer Stunde mobil betrieben werden.Der Preis für die 40-GByte-Platte, die ab September zu haben sein soll, liegt bei 329,- Euro. Offiziell soll das Gerät auf der Photokina vom 28. September bis 3. Oktober 2004 in Köln präsentiert werden.Lindy bringt PCI- und PCMCIA-Karten sowie Laufwerksgehäuse mit USB 2.0, 1394a und 1394b (FireWire 400/800) sowie SATA-Ports auf den Markt. Damit sollen sich ältere Systeme mit den aktuellen Schnittstellen nachrüsten lassen. Die Gehäuse gibt es dabei sowohl im 3,5- als auch auch im 5,25-Zoll-Format. Mit dem PCI-Host-Adapter kann der Benutzer einen PC um moderne Serial-ATA-, FireWire- und USB-2.0-Schnittstellen erweitern. Die Karten unterstützen aktuelle und auch ältere PCI-Slots mit 3,3 und 5 Volt sowie 33/66-MHz-Interface bis zur PCI-Spezifikation 2.2. Je nach Variante verfügen die Karten über bis zu fünf USB-2.0-Ports, bis zu drei FireWire-Anschlüsse oder vier interne und auch externe Serial-ATA-Ports. Treiber werden für Windows-Versionen von 98SE bis XP mitgeliefert. Der SATA Controller ist kompatibel zur aktuellen Serial-ATA-1.0a-Spezifikation mit Datentransferraten bis zu 1,5 GBit pro Sekunde und Port. Die Ports besitzen unabhängige 256-Byte-FIFOs pro Serial-ATA-Kanal und unterstützen RAID Level 0 und 1 (Mirror und Stripe).Die neuen CardBus- bzw. PCMCIA-Adapter von Lindy gibt es von nun an als USB-2.0- und 1394a-(FireWire-)Version mit jeweils drei Ports sowie als SATA-Version mit 2 Ports. Auch eine Mix-Variante haben die Mannheimer im Angebot. Dort vereint findet der Käufer sowohl zwei USB-2.0- als auch zwei unterschiedliche FireWire-Anschlüsse (6- und 4-polig). Da alle Ports fest auf der Karte integriert sind, verschwinden die Karten nicht komplett im Notebook. Geeignet sind alle PCMCIA-Adapter für Notebooks mit CardBus-PCMCIA-Slot (CardBus 32Bit Typ II), nicht aber alte 16-Bit-Typ-I-Slots. Es werden Notebooks mit den Betriebssystemen Windows 98SE/ME/2000 und Windows XP unterstützt.
Um die PCMCIA-Schnittstelle nicht mit zu starkem Strombedarf zu belasten, verfügen die USB- und FireWire-Adapter über einen Anschluss je nach Modell für ein optionales 5- bzw. 12-V-Netzteil. Damit können dann auch mehrere stromhungrige Geräte gleichzeitig betrieben werden, ohne Notebook-Akku, -Schnittstelle und Netzteil zu strapazieren.Die SATA-Versionen der Card-Bus-Adapter verfügen über zwei Dual-High-Speed-Serial-ATA-Interface-Ports und sind kompatibel zur Serial-ATA-1.0a-Spezifikation. Sie besitzen wie auch die PCI-Karten unabhängige 256-Byte-FIFOs pro SATA-Kanal und sind zum Anschluss von bis zu zwei externen SATA-Laufwerksgehäusen mit SATA-1,5-GBit-Schnittstelle konzipiert.Passend zu den PCI-Karten und PCMCIA-Adaptern bietet Lindy externe Laufwerksgehäuse zum Anschluss per SATA, USB und FireWire. Rutschfeste Silikongummifüße und interne weiche Silikongummipuffer sollen eingebaute Festplatten gegen Stöße, Schläge und Vibrationen schützen. Zudem ist ein leiser Ventilator integriert. Die Gehäuse sind dabei kaum größer als die Festplatte selbst und verfügen je nach Ausführung über einen Ein-/Ausschalter. Die Version für 5,25-Zoll-Geräte kann neben Festplatten auch CD/DVD-Laufwerke oder Brenner sowie MO- oder ZIP-Laufwerke aufnehmen. Bis auf die reine SATA-Variante sind die Gehäuse mit IDE-Platten bis zu ATA/133 bestückbar. Die PCI-Karte kostet als 5-Port-Combo-Karte (SATA und FireWire) und als 7-Port-Combo-Karte (SATA und USB 2.0) je 64,95 Euro, die 9-Port-Combo-Karte (SATA, USB 2.0 und FireWire) 94,95 Euro. Die PCMCIA-Adapter kosten als USB-2.0- und FireWire-Version jeweils 48,95 Euro, als SATA-Version 58,95 Euro und als Kombination (USB und FireWire) 79,95 Euro.Gehäuse sind ab 59,95 Euro zu haben (SATA-Laufwerksgehäuse 3,5 Zoll für SATA-Festplatten). Für 99,99 Euro erhält der Käufer die USB-2.0-/FireWire- bzw. die USB-2.0/SATA-Gehäuseversion. Benötigt er FireWire 400/800, kostet die entsprechende Combo-Version mit USB 2.0 169,95 Euro.Mit der Digitalkamera Exilim Pro EX-P700 stellt Casio eine neue Generation seiner Exilim-Pro-Reihe vor, die mit einer Bildauflösung von 7,2 Megapixeln und lichtstarker Canon-Optik mit 4fach optischem Zoom aufwartet. Die Kamera mit einem 2-Zoll-TFT-Display soll nach zwei Sekunden betriebsbereit sein, die Auslöseverzögerung gibt Casio mit 0,01 Sekunden an. Sie verfügt über ein schnelles Hybrid-Autofokussystem mit Auto-Makro-Funktion und kann bei Bedarf automatisch vom Autofokus in den Makromodus und wieder zurück schalten. Zudem kann der Nutzer neben dem Spot-Autofokus auch einen Mehrfeld-Autofokus mit sieben Messpunkten verwenden. Das Canon-Objektiv besteht aus acht Linsen in sieben Gruppen einschließlich einer asphärischen Linse und bietet eine Brennweite von 7,1 bis 28,4 mm bei F 2,8 bis 4.0, was 33 mm bis 132 mm bei Kleinbildkameras entspricht. Die Kamera misst ohne Vorsprünge 97,5 x 67,5 x 45,1 mm und wiegt ohne Lithium-Ionen-Akku und Speicherkarte rund 225 Gramm.Mit der Multi-Bracketing-Funktion können Fotografen Belichtungsreihen mit verschiedenen Parametern erstellen. Zudem hilft bei zu dunkel geratenen Aufnahmen die Flash-Assist-Funktion, die das Bild gegebenenfalls automatisch aufhellt. Via EX-Key hat man zudem schnellen Zugriff auf die Grundeinstellungen wie Weißabgleich oder ISO-Einstellungen (ISO 80, 160, 320 und 640). Die Manual-Assist-Funktion hilft beim Bestimmen von Blende und Belichtungszeit und zeigt dem Fotografen anhand von Beispielen an, welche Ergebnisse er mit unterschiedlichen manuellen Einstellungen erzielen wird.Darüber hinaus bietet die Kamera 27 voreingestellte Motivprogramme für verschiedene Aufnahmesituationen, darunter Weichzeichner oder Sportmotive. Auch dabei das Motivprogramm Business Shot, um trapezförmig verzerrte Seitenansichten eines Präsentationscharts zu begradigen. De quoi s’inquiéter ? Pas forcément. « La valeur du DAS pendant les appels normaux est beaucoup plus faible que lors des essais de certification de téléphone mobile, précise l’agence coréenne. Et la valeur du DAS peut largement varier au cours de la vie réelle des appels mobiles en raison de la façon de tenir le téléphone et la distance et les caractéristiques de la station de base radio; cette différence de valeur du DAS pendant les appels au quotidien est beaucoup plus grande que la différence entre les modèles de téléphones mobiles de différents fabricants. » Autrement dit, mieux vaut faire attention à la façon dont on utilise son téléphone qu’à scruter les caractéristiques techniques du DAS des modèles concurrents. En cas de doute et pour limiter l’absorption des ondes au niveau de la tête, préférez le câble micro-écouteur connecté à la prise jack du téléphone. Des utilisateurs de la nouvelle série de Note 7 font état d’une perte rapide de l’autonomie de la batterie. Et d’une surchauffe.Samsung n’en a probablement pas fini avec les problèmes du Galaxy Note 7. Apparemment, des consommateurs coréens se plaignent que la batterie des nouveaux smartphones tend à surchauffer et perd rapidement en autonomie, y compris quand elle est en charge, rapporte le Wall Street Journal. Samsung a commencé à échanger les Note 7 des clients locaux depuis une semaine. Mais, visiblement, tous les problèmes de batterie que rencontre l’appareil ne sont pas résolus.Pour mémoire, le constructeur a initié un programme de rappel de son nouveau smartphone haut de gamme après que plusieurs cas de surchauffe de la batterie entrainant parfois son explosion aient été constatés en Corée mais aussi en Amérique du Nord où l’appareil était commercialisé depuis le 19 août. En France, la commercialisation du terminal initialement prévue le 2 septembre a été repoussée. Samsung a lancé une procédure d’échange pour les clients qui avaient précommandé le Note 7 en ligne. Pas moins de 2,5 millions d’appareils sont concernés dans le monde par le programme d’échange. Indépendamment des nouvelles plaintes rapportées par YTN, une chaîne de télévision locale, le constructeur a annoncé vendredi dernier par voie de communiqué son intention de repousser de trois jours la nouvelle sortie commerciale du Note 7. Ce dernier n’arrivera pas avant le 1er octobre prochain sur les étales des magasins. Officiellement pour laisser le temps à Samsung de récupérer les 200 000 unités du smartphone à stylet encore dans la nature dans le pays.Pour l’heure, Samsung s’est refusé à confirmer la réalité des nouveaux problèmes de batterie du Note 7. Ni même si ces difficultés avait été constatées ailleurs qu’en Corée. Un porte parole de la firme a déclaré au WSJ que le nouveau problème était sans rapport avec la batterie et ne concernait que quelques cas isolés. Avant de confirmer que le constructeur allait étudier de près les cas en question. Une nouvelle affaire de batteries en vue pour Samsung ?Un bureau à domicile ne sera réellement pratique et ergonomique qu’une fois enrichi de quelques périphériques choisis avec soin. Priorité au confort !Du poste de travail au système d’exploitation en passant par les différents périphériques, l’installation d’un bureau à domicile implique de faire de nombreux choix pour son environnement informatique. Voici, étape par étape, quelques conseils pour trouver les meilleures solutions.Vous avez trouvé votre poste de travail idéal et l’écran adapté à vos besoins ? Vous avez dorénavant besoin d’y relier les périphériques nécessaires à vos tâches quotidiennes. C’est probablement le périphérique le plus utilisé. La souris accompagne la plupart de nos actions sur un ordinateur. Les allergiques aux câbles se dirigeront vers un modèle sans fil mais devront veiller à l’état de la batterie ou des piles pour ne pas se retrouver en panne au moment de boucler un dossier urgent. La souris filaire offre également un meilleur temps de réponse. En termes de pointage, le laser bénéficie d’une meilleure précision que l’optique mais pour un coût plus élevé. Certains capteurs montent jusqu’à 16 000 ppp (points par pouce). Une résolution inutile à moins d’être un joueur invétéré, adepte du multi-écran et de l’ultra-haute définition. Si ce n’est pas votre cas, 1 000 ppp suffisent pour la grande majorité des usages bureautiques classiques. Le point important à prendre en compte pour un appareil utilisé à longueur de journée est surtout le confort de la prise en main. La seule solution ici est de tester différents appareils pour trouver celui correspondant le plus à votre morphologie. A noter qu’il existe aujourd’hui des souris verticales qui permettent de changer la position du bras.
Inséparable de la souris, le clavier est l’autre périphérique de base de l’informatique. Il peut lui aussi être filaire ou sans fil. Ce dernier présente néanmoins un intérêt assez limité, le clavier étant beaucoup moins mobile que la souris. Dans un environnement où cohabitent de nombreuses connexions wifi ou bluetooth, il peut par ailleurs subir des déconnexions intempestives. En ce qui concerne les touches, deux grandes familles se distinguent : mécanique et à membrane. Le premier est le préféré des gamers. Chaque touche agit comme un interrupteur indépendant. Il a pour lui une plus grande solidité et un meilleur temps de réponse. Il est aussi plus cher et plus bruyant. Les claviers à membranes seront plus fins, plus silencieux et moins coûteux. Les touches sont disposées sur une membrane en plastique couvrant toute la surface du clavier et composée de trois couches. Une pression sur la touche permet de faire entrer en contact les membranes inférieure et supérieure et d’activer ainsi la fonction voulue. Ce sont les claviers les plus répandus. Les claviers « chiclet », que l’on retrouve sur de nombreux ordinateurs portables, sont également des claviers à membranes avec des touches plates et espacées. La connectique est également un point à vérifier. Des ports USB ou jack intégrés au clavier peuvent permettre de faciliter le branchement d’autres périphériques, comme une souris ou un casque. Le travailleur distant n’est pas un collaborateur absent pour l’entreprise. Grâce aux technologies actuelles de collaboration, il reste en permanence en contact avec son équipe, ses partenaires ou ses clients. Un des équipements les plus utilisés par les professionnels est le micro-casque. Premier critère à vérifier, la présence d’un micro unidirectionnel et d’un réducteur de bruit pour que votre interlocuteur vous entende distinctement. Ensuite, la qualité sonore va dépendre de trois principaux éléments. La réponse en fréquence d’abord, est le spectre sonore que le casque est capable de reproduire. Idéalement, elle sera identique à celle perceptible par l’oreille humaine, soit de 20 à 20 000 Hz. Vient ensuite l’impédance, exprimée en ohms et dont la valeur varie entre 16 et 600 ohms. Elle indique la résistance du casque au signal électrique qui le traverse. Sur un PC, une impédance supérieure à 100 ohms risque d’atténuer le son, à moins de disposer d’une carte son dédiée. Enfin, la sensibilité indique le volume que le casque sera capable de restituer à une puissance donnée. Plus elle est importante, plus vous pourrez obtenir un volume élevé sans perte de qualité. Un critère moins primordial pour communiquer avec ses collègues. D’autres aspects plus pratiques peuvent également faire la différence comme les commandes présentes sur le cordon, le micro à tige flexible ou encore les coussinets ajustables. Même si de plus en plus de documents sont désormais numérisés, le papier a encore une large place dans les échanges professionnels. C’est pourquoi le travailleur distant ne pourra se passer bien longtemps d’une imprimante efficace. La première étape sera de trancher entre jet d’encre et laser. De manière générale, la première est plus économique et polyvalente, la seconde plus productive. Si vos besoins en impression sont limitée, mieux vaut privilégier les machines jet d’encre avec cartouches séparées et intégrant un scanner pour pouvoir transmettre facilement par mail vos documents papier. En termes de résolution, 600 x 600 ppp pour l’impression et 1200 x 1200 ppp pour la numérisation sont des valeurs courantes qui satisferont les usages traditionnels. Certaines fonctionnalités peuvent également s’avérer très pratiques comme la connexion wifi, l’impression depuis un appareil mobile ou encore la prise en charge de clés USB ou de cartes mémoires. Même s’il ne s’agit pas d’un périphérique à proprement parler, il est vivement recommandé lorsqu’on travail à domicile. L’onduleur va permettre d’absorber les variations de tension électrique pour assurer au poste de travail une alimentation stable, mais aussi, pour les modèles avec batterie, de continuer à l’alimenter en cas de panne de courant. L’autonomie peut varier selon les équipements mais dans tous les cas, elle laissera un délai suffisant pour sauvegarder les tâches en cours. Un investissement d’une centaine d’euros en moyenne qui va peut être sauver quelques heures de travail le jour ou la foudre tombera un peu trop près de votre domicile.Onion, société conceptrice du Omega, vient de boucler une campagne de crowdfunding qui va lui permettre de lancer la version 2 de son pico-ordinateur. Objectif : démocratiser l’usage de ces kits de développement prisés par les applications IoT.
La société américaine Onion Corp vient de finaliser sa campagne de crowdfunding pour son Omega2, un pico-ordinateur Linux de la taille d’un timbre-poste et offrant une connexion WiFi ainsi que de la mémoire Flash intégrée. Onion Corp, qui a déjà recueilli quelque 775 000 dollars (près de 4 500 fois son objectif de départ !), explique que son Omega2 « combine le facteur de forme très réduit du Arduino avec la puissance et la flexibilité de Raspberry Pi ».La société, qui dit vouloir commercialiser ce pico-ordinateur à partir de décembre prochain, proposera un format très ramassé (environ 1/4 de la taille du Pi selon les comparaisons de Onion Corp). Onion assure aussi que son Omega2 sera prêt à l’emploi dès qu’il sera alimenté. Bref, la jeune société de Boston entend simplifier l’accès aux pico-ordinateurs et aux développements qui les accompagnent (la plupart du temps pour des applications IoT). Onion proposera des applications facilitant l’exploitation de la machine ainsi qu’un magasin applicatif pour entreposer d’autres développements (réalisés avec le SDK maison).La machine, qui fait tourner Linux mais aussi FreeBSD, sera extensible, promet son concepteur. Ce dernier décrit ainsi toute une série d’extensions plug and play qui viennent augmenter les capacités du Omega2 (Bluetooth, 3G, GPS, Power over Ethernet…). De premières extensions proposées par des sociétés tierces sont également prévues. Le pico-ordinateur sera disponible en deux versions. Le modèle de base (à 5 $) propose une processeur cadencé à 580 MHz, 64 Mo de mémoire et 16 Mo de stockage. Une offre dite Omega2 Plus double les capacités de la mémoire vive et du stockage, et propose un port MicroSD pour augmenter les capacités de stockage. Pour être alimenté et offrir un accès à ses ports d’extension, le pico-ordinateur devra être inséré dans un dock (vendu 15 $). Notons que Onion prévoit aussi de proposer une carte d’accueil alimentée par une batterie Lithium polymères. Le premier pico-ordinateur de la firme, le Omega, actuellement commercialisé, coûtait lui près de 20 $ (avec un processeur cadencé à 400 MHz et 64 Mo de Ram).Le concepteur des Omega2 affirme avoir mené un premier test au début de l’été sur 300 pico-ordinateurs Omega2 et avoir obtenu les certifications américaines et européennes dès août dernier. Via la campagne de crowdfunding, la start-up américaine a déjà récolté quelques centaines de pré-commandes. Un cabinet d’études a décortiqué le smartphone d’Apple pour connaître le prix des composants. Verdict : un iPhone 7 coûte environ 220 dollars à produire. Contre 649 à l’achat.Le cabinet IHS Markit s’est fait une spécialité de connaître le coût de production des derniers smartphones. Après le lancement de l’iPhone 7, on attendait donc le verdict des analystes. Il vient de tomber : un iPhone 7 en version 32 Go coûte 219,80 dollars à fabriquer. 5 dollars sont affectés en plus pour le montage, soit un total de 224, 80 dollars. Le prix de vente d’un iPhone 7 32 Go est de 649 dollars, rappelle IHS Markit.Première constatation pour les experts, l’iPhone 7 est plus cher en composants que son prédécesseur l’iPhone 6S, avec une différence de 36,89 dollars. Une variation qui s’explique à la fois par des coûts de matériel plus élevés, mais également par une marge plus forte de la part de la firme américaine. Anders als die große Schwester speichert die Pentax ist Ds die Bilddaten nicht auf CompactFlash, sondern auf SD-Memory-Card und ist mit einem USB-2.0-Interface ausgestattet.Pentax ist Ds Das Pentax-KAF-Objektivbajonett ermöglicht es Besitzern von Pentax-Optiken, ihre KAF2-, KAF- und KA-kompatiblen Objektive zu verwenden. Dabei gilt es, eine Brennweitenverlängerung von 1,5 zu beachten. Eine Unterstützung der KAF-Motor-Zoom-Funktion wird nicht gewährt. Darüber hinaus teilte der Hersteller mit, dass Objektive mit K-Fassung eingeschränkt, diejenigen mit S-Fassung mit Adapter und unter bestimmten Beschränkungen verwendet werden können. Auch Objektive des Typs 67/645 sollen mit Adapter und unter bestimmten Beschränkungen verwendet werden können.Eine optional erhältliche, kabellose IR-Fernsteuerung kann bis zu 5 Meter vor der Kamera das Gerät auslösen. Die Energieversorgung erfolgt über zwei CR-V3-Batterien, vier Mignon-Batterien oder entsprechende Akkus. Pentax ist Ds Mit einem Gewicht von gerade einmal 500 Gramm ohne Batterien und Speicherkarte sowie einer Größe von 125 x 92,5 x 66 mm ist die Kamera ausgesprochen kompakt. Sie ist in einem Edelstahlchassis verpackt und soll mit Akku und Speicherkarte, aber ohne Objektiv 605 Gramm wiegen.Die Pentax ist Ds soll ab November 2004 auf den Markt kommen. Als Paket mit dem neuen Zoomobjektiv Pentax DA 18mm-55 mm / 3,5-5,6 AL (entspricht ca. 28 bis 85 mm KB-Format) soll sie zum Kampfpreis von 999,- Euro antreten. Den reinen Body-Preis teilte Pentax noch nicht mit.Das "Materials and Energy Research Institute" in Tokio hat eine kleine Brennstoffzelle für Notebooks entwickelt, die bei Raumtemperatur arbeitet und etwa doppelt so lang durchhalten soll wie ein Lithium-Ionen-Akku mit vergleichbarer Größe, berichtet die japanische Tageszeitung Nihon Keizai Shimbun. Die Brennstoffzelle misst nur 3 x 2 x 0,1 cm und wiegt gerade einmal 5 Gramm. Insgesamt 50 Zellen produzieren rund 25 Watt Strom, ausreichend, um einen Laptop zu betreiben. Allerdings ist zusätzlich ein Tank notwendig, so das Blatt. Dabei setzen die Forscher anders als viele andere Entwickler von Brennstoffzellen nicht auf Methanol oder Wasserstoff, sondern nutzen Natrium-Borhydrid als Brennstoff, was einen Mechanismus zur Extraktion von Wasser überflüssig macht. Zudem soll Natrium-Borhydrid im Vergleich zu Methanol bei Raumtemperatur eine rund viermal so hohe Energieausbeute bieten.Der verwendete Brennstoff soll aber auch weitere Vorteile bieten. So kommt die Brennstoffzelle ohne seltene Metalle wie Platin für die Elektroden aus, was die Materialkosten gering halten soll.Das Forschungsinstitut bemüht sich im Rahmen eines Technologietransfers, die Technik durch den Verkauf an ausländische Unternehmen zu kommerzialisieren.Texas Instruments hat eine Technik vorgestellt, mit der man die Kapazität von Lithium-Ionen-basierten Akkus auf bis zu 99 Prozent genau messen können soll. Dies soll auch über den gesamten Lebenszylus der Energiespeicher trotz schwindender Kapazitäten möglich sein. Die Technik ist natürlich besonders für mobile Geräte interessant - und betrifft nicht nur relativ profane Dinge wie Notebooks und PDAs, sondern auch medizinische Geräte, bei denen das Wissen über den genauen Akkustand mit Sicherheit noch viel wichtiger ist.
TI hebt besonders die Funktion hervor, dass die Messung auch abhängig vom Akku-Alter erfolgt. Dies sei bei den bisherigen Messmethoden nicht der Fall. Die Technik namens Impedance Track funktioniert derzeit bei zwei-, drei- und vierzelligen Akkupacks und ist in das TI-bq20z8x-Chipset integriert, das beispielsweise auch Informationen über Temperaturen, die Ladezyklen und die Verwendung des Akkus auswertet und speichert.Impedance Track unterstützt auch Nickel-Metall-Hydride (NiMH) oder Nickel-Cadmium-(NiCD-)Akkus. Bald will TI auch einzellige Lithium-Ionen-Akkus unterstützen, wie sie in PDAs, Telefonen und Digitalkamers verwendet werden.Mit der MX 1000 hat Logitech eine Maus vorgestellt, bei der Laser-Technik zum Abtasten der Oberfläche zum Einsatz kommt. Der Laser arbeitet in einem Wellenlängenbereich von 832 bis 852 Nanometer und konnte während der Tests auch bei völliger Dunkelheit nicht gesehen werden. Logitech MX1000 Logitech rühmt sich, dass die Rechtshänder-Maus MX 1000 auf praktisch jeder Oberfläche funktioniert. Herkömmliche optische Mäuse haben gelegentlich schwere Probleme auf Holz- und Glasflächen, bei denen der Mauszeiger dann nur noch wild auf dem Bildschirm herumspringt. In unseren Tests fand sich außer Spiegelglas und stark glänzenden Textilien und CDs keine einigermaßen glatte und damit ernsthaft als Mausunterlage geeignete Oberfläche, auf der die Maus nicht zum Arbeiten zu bringen war. Selbst auf einem (ausgeschalteten) Ceran-Kochfeld konnte man noch munter mit der Maus kontrolliert umherfahren.Der eingebaute Lithium-Ionen-Akku war selbst in einer Sieben-Tage-Woche mit jeweils acht- bis zehnstündigem Betrieb nicht leer zu kriegen - am Ende des Tests leuchteten immer noch zwei von drei Leuchtmarken auf der linken Mausoberseite in der Nähe der Daumenmulde. Da man während der Benutzung den rechten Zeigefinger auf diese Anzeige legt, stört ihr Leuchten im Betrieb nicht. Logitech spricht von drei bis vier Stunden Ladevorgang zum vollständigen Aufladen und einer Laufzeit von ca. 21 Tagen. In nur 10 Minuten soll der Akku ausreichend aufgeladen sein, um die Maus einen ganzen Tag lang benutzen zu können.Die Maus schaltet bei Inaktivität nach ungefähr 6 Sekunden ab, um den Akku zu schonen. Wer den kleinen Nager öfter einmal unterwegs mitnimmt, wird sich über den auf der Geräteunterseite angebrachten Ausschalter freuen, durch den das Zeigegerät in der Tasche bei Bewegung nicht unnötig in Betrieb geht. Die Ladestation erfordert ein fast aufrechtes Einsetzen der Maus in der Vertikalen. Zwei kleine Kontaktflächen am hinteren Teil der Mausunterseite nehmen dann Kontakt mit der Station auf. Die Basis ist mit zwei Anschlüssen versehen - zum einen gibt es den USB-Anschluss, mit dem die Basis Kontakt mit dem Rechner aufnimmt und die empfangenen Funksignale weitergibt, zum anderen ist an der Mausbasis eine Buchse für das kleine Steckernetzteil angebracht, das man leider auch noch benötigt, um die Maus aufzuladen. Der Ladevorgang läuft unserer Erfahrung nach recht schnell ab - nach ungefähr einer Stunde schien der Akku voll zu sein - alle drei Leuchtmarkierungen strahlten hellgrün.Das löblicherweise mit merklich hör- und spürbaren Rastpunkten ausgestattete Mausrad - hochtrabend mit "Tilt Wheel Plus Zoom" bezeichnet, ermöglicht vertikales und horizontales Scrollen sowie Zoomen. Vor und hinter dem Mausrad sind die Druckpunkte eines Wippschalters angebracht, der durch Drücken das Scrollen auch ohne Mausradrollerei ermöglicht. Überhalb der Daumenmulde sind Tasten zum Vor- und Zurückblättern im Internet-Browser gedacht. Die dazwischen liegende mittlere Daumentaste ermöglicht das schnelle Wechseln zwischen geöffneten Fenstern. Alle Tastendrücke erzeugen ein eindeutig identifizierbares Auslösen und ein leises, angenehmes Klacken der Mikroschalter.Mit der beigelegten Software kann man aber unter Windows die Maustasten mit nahezu x-beliebigen Tastendrücken und -Kombinationen belegen, so dass dem Erfindungsreichtum für mehr Mausproduktivität Tür und Tor geöffnet sind. Ohne Treiber-Installation funktioniert zwar das Vor- und Zurückschalten im Browser und die Scrollwippe und das Mausrad - das vertikale Scrollen sowie das Fensterumschalten mit der mittleren Daumentaste sind jedoch nicht möglich.Logitech MX1000 Die Daumenmulde ist recht groß ausgefallen, so dass auch Menschen mit breitem Daumen genügend Platz vorfinden sollten - bis ungefähr 2,6 cm Breite des ersten Daumengelenks sollte es keine Probleme geben. Erst darüber hinaus besteht Gefahr, dass man aus Versehen auf die Tasten überhalb der Mulde gerät.
Die Logitech MX 1000 fühlt sich vor allem am umlaufenden schwarzen Bereich warm an und liegt gut in der Hand, was auch vom nicht allzu hohen Gewicht herrührt. Sie erlaubt auf Grund ihrer Form ein ermüdungsfreies und konzentriertes Arbeiten auch über Stunden hinweg.Die hohe Abtastgeschwindigkeit - Logitech spricht von dem 20fachen von normalen optischen Mäusen - sorgt für eine präzise Erfassung der Mausbewegung, die praktisch verzögerungsfrei an den Rechner weitergegeben wird.Auch in Shootern und anderen reaktionsschnellen Spielen funktioniert die Maus ohne Tadel, Verzögerungen sind nicht oder ganz leicht spürbar. Der Eindruck ist allerdings etwas subjektiv und der Vergleich mit anderen Mäusen auch deshalb schwierig, da oftmals die unterschiedliche Gleitfähigkeit der Mausunterseiten als scheinbares Indiz dafür herhalten muss, wie gut die Maus "am Gas" hängt.Logitech MX1000 Bei der Funkübertragung kam es bei unterschiedlichsten Arbeitsplätzen zu keinerlei Problemen, auch bei erheblicher Funkbelastung durch Handy, WLAN und andere Funkmäuse. Zu einer Störung in die andere Richtung, also von anderen schnurlosen Mäusen und Tastaturen anderer Hersteller, kam es ebenfalls nicht.Die Logitech MX 1000 Laser Cordless Mouse ist ab sofort für offiziell 74,99 Euro im Handel erhältlich, im Versandhandel hat sich aber mittlerweile ein Preis von ungefähr 57,- Euro zzgl. Porto eingependelt. Mit der Lasermaus MX 1000 ist Logitech ein großer Wurf gelungen. Nicht nur die Ergonomie der Maus begeistert, sondern auch die Akkulaufzeit, die ein nerviges Aufladen nicht mehr zur allabendlichen Pflicht, sondern allenfalls zur Kür werden lässt. Nicht jedem wird die für einige Zusatztasten und Schalter erforderliche Treiberinstallation schmecken, aber auch ohne diese ist die Maus ein sehr gelungenes Arbeitstier sowohl für den beruflichen als auch den privaten Einsatz.Auf der Modeshow Totally Fashion in Shanghai zeigte Nokia mit dem 7260, dem 7270 und dem 7280 drei neue Handy-Modelle, die allesamt vor allem durch ihr Äußeres hervorstechen und Käufer finden sollen. Damit verfolgt Nokia einen ähnlichen Ansatz wie seinerzeit Siemens mit der Xelibri-Reihe, welche allerdings bereits wieder eingestellt wurde. Nokia 7280 Das ungewöhnlichste Mobiltelefon der drei Neuvorstellungen stellt das Nokia 7280 dar, bei dem auf eine normale Handy-Klaviatur komplett verzichtet und auf eine möglichst schlanke Bauweise gesetzt wurde. Nach Ansicht von Nokia genügen wenige Knöpfe zur Steuerung des Geräts, wobei eine Sprachsteuerung helfend zur Seite steht. Somit soll eine komfortable Bedienung über Sprachbefehle und ein paar Knöpfe möglich sein. Eingehende Anrufe nimmt man durch leichtes Aufschieben des Gehäuses entgegen, was dann auch gleich die integrierte Digitalkameralinse freilegt. Nokia 7280 Im Unterschied zu den beiden anderen vorgestellten Modellen besitzt das 115 x 32 x 19 mm messende 7280 eine Bluetooth-Funktion und weist ein Display auf, das maximal 65.536 Farben bei einer Auflösung von 104 x 208 Pixeln zeigt. Das 84 Gramm leichte Handy bietet mit einer Akkuladung eine Sprechzeit von maximal 3 Stunden und hält im Bereitschaftsmodus rund 10 Tage durch. Auf die Integration eines E-Mail-Clients und einer Instant-Messaging-Applikation wurde ebenso verzichtet wie auf eine Java-Funktion.Nokia 7260 Heiße Gerüchte gab es bereits über das Nokia 7260, das vielfach auf Grund des ungewöhnlichen Äußeren für eine Fälschung gehalten wurde. Die offizielle Ankündigung des Nokia 7260 bereitet diesen Vermutungen nun ein Ende. Auch hier konzentriert sich Nokia vor allem auf das Äußere des 92 Gramm wiegenden Mobiltelefons, in dem ein Display mit einer Auflösung von 128 x 128 Pixeln bei maximal 65.536 Farben zum Einsatz kommt. Das 105 x 45 x 18 mm messende Handy schafft mit einer Akkuladung eine Sprechzeit von 3 Stunden und hält nach Herstellerangaben im Empfangsmodus fast 15 Tage durch. Auch beim Klapp-Handy 7270 liegt Nokias Schwerpunkt auf dem Aussehen des Mobiltelefons, das in einem Edelstahlgehäuse untergebracht ist und vor allem durch das Design überzeugen soll. Im 7270 kommen - wie bei Klapp-Handys üblich - zwei Displays zum Einsatz. Das Außendisplay im 7270 liefert bis zu 4.096 Farben bei einer Auflösung von 96 x 65 Pixeln, während das Hauptdisplay 65.536 Farben bei einer Auflösung von 128 x 160 Pixeln verspricht. Der Akku im 121 Gramm schweren Handy reicht für eine Sprechdauer von bis zu 4 Stunden und agiert im Empfangsmodus knapp 12 Tage am Stück.Nokia 7270 In allen drei Nokia-Handys steckt eine VGA-Digitalkamera für die Aufnahme von Fotos und Videos, ein UKW-Radio, ein Browser gemäß WAP 2.0 und eine Infrarot-Schnittstelle. Die Tri-Band-Geräte für die GSM-Netze 900, 1.800 sowie 1.900 MHz unterstützen neben GPRS auch EDGE sowie MMS und spielen polyphone Klingeltöne. Sowohl das 7260 als auch das 7270 enthalten darüber hinaus einen E-Mail-Client, einen Instant-Messenger und eine Java-Funktion.Nokia 7260 Für ein knappes Jahr hatte Siemens mit der Xelibri-Reihe versucht, Mobiltelefone vornehmlich als Mode-Artikel zu vermarkten, was allerdings von bescheidenem Erfolg gekrönt war. Im Mai 2004 wurde die Xelibri-Reihe von Siemens bereits wieder eingestellt. |
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